Un décor planté dans l'un de mes lieux de prédilection : la Charente maritime, des tirades du Misanthrope, me ramenant à mes années Collège, une ambiance italienne ravivant mes souvenirs de vacances toscanes, des acteurs de génie, dont Fabrice Luchini...
Molière toujours au goût du jour, nous rappelant que les travers humains n'ont pas changé.
De quoi enchanter ma soirée de mardi durant plus d'une heure trente.
* Petit clin d'oeil à mes amies Annette et Coco, qui avaient aussi adoré ce film.
Culture
"Alceste à bicyclette" : variation en Ré sur un thème de Molière
LE MONDE | 15.01.2013 à 13h22 • Mis à jour le 15.01.2013 à 13h23 Par Thomas Sotinel
Maya Sansa et Fabrice Luchini dans le film français de Philippe Le Guay, "Alceste à bicyclette".
Non, ce n'est pas un "spin off" du Petit Nicolas. D'ailleurs, dans ce joli film, modeste, intelligent et drôle, la langue française est préservée d'outrages de ce type. L'Alceste dont il est ici question n'est pas le personnage secondaire de Goscinny mais le Misanthrope de Molière. Et s'il est à bicyclette, c'est parce qu'il habite sur l'île de Ré, qui offre une surface égale aux cyclistes d'un certain âge.
Sur une suggestion de Fabrice Luchini, Philippe Le Guay a écrit un film qui commence comme un pastiche pour s'épanouir ensuite en une comédie amère d'une discrète virtuosité.
Gauthier Valence (Lambert Wilson), acteur au physique avantageux, a caché aussi bien à son agente qu'à sa compagne le but de son voyage à l'île de Ré. Et quand il y touche, en faisant irruption dans la retraite de Serge Tanneur (Fabrice Luchini), Valence ment aussi à ce dernier, prétextant la recherche d'une résidence secondaire. La vraie raison de la venue du fringant quinquagénaire est autre.
Acteur de télévision (il y incarne régulièrement un brillant neurochirurgien), il espère tirer Tanneur, comédien prestigieux jadis croisé sur un plateau, de son exil afin qu'il remonte sur scène où les deux hommes joueront Le Misanthrope. Bien sûr, Valence est un moderne Philinte, mondain, engagé dans la société des autres par de multiples compromis, pendant que Tanneur fait un bel Alceste pour le XXIe siècle dont il méprise tous les pièges, du téléphone portable au jacuzzi.
On pourrait s'arrêter là. Mais Philippe Le Guay est à la fois plus respectueux et plus ambitieux. Entre les deux hommes s'engage une parade nuptiale qui devrait se conclure sur scène : ils se disputent le rôle d'Alceste. Certes Tanneur est de toute évidence le meilleur des deux, mais Valence est célèbre, capable de mobiliser des capitaux. Ils décident finalement d'alterner, d'être tantôt Philinte, tantôt Alceste. Le scénario fait ainsi entendre de longs extraits du texte de Molière, et les alexandrins surplombent les dialogues triviaux qu'échangent les deux hommes, tout en en révélant les sens cachés.
Car, bien sûr, ce n'est pas seulement l'admiration pour son collègue retiré du monde qui a poussé Valence à déranger Tanneur. Il y a aussi de la jalousie, de l'ambition personnelle, un désir de compétition bientôt exacerbé par la rencontre avec une autre exilée, une Italienne (Maya Sansa) échouée sur l'île après une séparation.
Les natures des deux personnages se font jour : Valence n'est pas seulement un fat, et son ambition n'est pas seulement mondaine ; Tanneur est aussi un égotiste, un Narcisse qui feint de se détester. C'est par la finesse de l'étude de caractère que Philippe Le Guay rejoint le motif de départ, sans jamais prétendre lui faire concurrence.
A cela près que le réalisateur a sous la main un duo qui peut se produire sur les scènes les plus prestigieuses. Fabrice Luchini interprète ici un personnage très proche de l'incarnation que le comédien propose depuis des décennies sur les plateaux télévisés : un histrion en représentation perpétuelle, qui, malgré ses professions de haine pour le reste de l'humanité, jouit de retrouver un public, tout en étant incapable d'aller à sa rencontre. Ici, il lui offre l'incertitude, par moments, des éclairs de lucidité désespérée passent dans ses yeux. Quant à Lambert Wilson, il se tire avec brio d'un très mauvais pas, puisqu'il est obligé de montrer qu'il est un excellent comédien en interprétant le rôle d'un acteur médiocre.
Dommage...!
12/02/2013 18:02 par cathy7302
Dommage...!
12/02/2013 18:02 par cathy7302
Dommage...! Hier, je n'avais pas pris mon appareil photo et mon Galaxy n'avait plus assez de batterie. En rentrant, en pleine ville, au pied du Château, j'ai vu un homme en ski de fond. Il a bien eu raison d'en profiter, il y avait tellement de neige !
Je vous embrasse, bonne soirée,
Cathy
Jonathan Gutierrez
11/02/2013 23:20 par cathy7302
Jonathan Gutierrez
11/02/2013 23:20 par cathy7302
Dimanche 10 févier 2013.
Coup de fil à un ami tunisien de longue date, en fin d'après-midi : il attend deux jeunes gens, dont l'un est webmaster et fait le site de mon ami.
Outre ses qualités professionnelles, ce charmant garçon est champion de vitesse de frappe...
Il y a peu, au cinéma, j'ai vu le film " POPULAIRE ", et c'est ainsi que je me décide à prendre la route,tout émue de faire la connaissance d'un champion !
Malgré les prévisions de neige, je quitte la maison, seule, avec Twist, cinq minutes après dix-neuf heures. Confiante en la météo qui ne prévoit l'arrivée de la neige chez moi, que tard dans la nuit.
Vingt heures quinze, me voici à bon port. Au menu, une choucroute de la Mer.
Après souper, Jonathan nous montre ses talents de dactylographe, époustouflant ! Onze caractères par seconde !
Il part très bientôt en Belgique pour le prochain Championnat.
Il a déjà terminé septième au rang mondial...
Citation musulmane
08/02/2013 00:12 par cathy7302
Citation musulmane
08/02/2013 00:12 par cathy7302
Quelqu'un ce soir, ( il se reconnaîtra s'il vient dans mon Univers... ) m'a appris ce très beau proverbe musulman :
" Le Paradis se trouve sous les pieds de nos mères "
Douce nuit, je vous embrasse, Cathy
Conduite sur route enneigée
07/02/2013 00:23 par cathy7302
Ce mercredi 6 février 2013
Il a beaucoup neigé aujourd'hui, et j'ai dû renoncer à sortir en fin d'après-midi. Non que j'aie peur de ma conduite, mais plutôt de celle des autres. Des automobilistes qui freinent, se mettent en travers et bloquent tout le monde, par leur conduite inappropriée.
J'ai quitté la maison, pour faire demi-tour peu après tant c'était le chaos. Personne ne m'a appris à conduire par temps de neige, mais deux choses me sont apparues comme évidentes : ne pas freiner, et si l'on doit freiner, ANTICIPER.
Ce qui est une évidence pour certains ne l'est pas pour tous, et les jours de neige sont catastrophiques, même en Savoie. On serait à Marseille ce serait pareil !
Voici un article parfait pour se donner du courage.
*
- INTERVIEW -
Conduire par temps de neige peut, pour certains automobilistes peu habitués à cette pratique, être un vrai moment de stress. TF1News a recueilli les conseils de Sylvain Tessier, responsable de l'école de pilotage du circuit des 24h du Mans.
Pour de nombreux automobilistes, neige et verglas riment avec grosse galère. Sylvain Tessier, responsable du centre de formation et de l'école de pilotage du circuit des 24 h du Mans, livre à TF1 News ses conseils et ses astuces pour une conduite sécurisée.
TF1 News : quels sont les premiers réflexes à avoir quand on doit prendre sa voiture alors qu'il vient de neiger ?
Sylvain Tessier :
La première chose à faire est de bien préparer son départ. Il faut impérativement déneiger l'ensemble des vitres, des rétroviseurs et des optiques de phares pour s'assurer une visibilité parfaite. Idéalement, il faut en même temps mettre le chauffage pour que les caoutchoucs des balais d'essuie-glace aient le temps de dégeler et être opérationnels.
La règle fondamentale, c'est l'anticipation
TF1 News : Comment démarre-ton sur un sol enneigé et souvent verglacé ?
S.T. : La faible adhérence va faire que la voiture va réagir très dynamiquement à toutes les actions du conducteur. Donc il va falloir être très souple avec l'ensemble des commandes : embrayage, accélérateur, volant.
Pour démarrer, si ce n'est pas trop enneigé, c'est faisable en 1ère mais avec un relevé d'embrayage très très doux pour éviter le patinage.
Si c'est très enneigé ou déjà verglacé alors il faut démarrer directement en seconde, ce qui oblige à faire un peu plus patiner l'embrayage mais évite de rester bloquer.
TF1News : Une fois sur la route, comment freine-t-on ?
S.T. : La règle fondamentale, c'est l'anticipation. On regarde et on anticipe au maximum les endroits où l'on sait que l'on devra freiner : feu rouge, stop, bouchons habituels, etc... On anticipe, comme cela on peut freiner et rétrograder tout doucement. Et on maintient d'énormes distances de sécurité par rapport au véhicule de devant.
L'idée est de n'avoir jamais à actionner violemment le frein car sur des voitures anciennes, cela entraînera le blocage des roues, et sur les voitures récentes cela déclenchera l'ABS mais les distances de freinage seront très longues. Après si on doit freiner, il faut privilégier le frein moteur, toujours avec un relevé très très progressif et doux de l'embrayage. Ensuite, j'essaie d'imaginer que j'ai un œuf cru sous la pédale de frein. Œuf cru que je ne dois en aucun cas casser pendant que je freine.
TF1 News : Comment aborde-t-on les virages ?
S.T. : Tous les conseils d'anticipations que je viens de donner s'appliquent aussi dans les virages. Ce qu'il faut, c'est éviter d'avoir à freiner ou rétrograder pendant qu'on est dans la courbe. Il faut également avoir une tenue très souple et douce du braquage du volant.
Ne jamais regarder l'endroit vers lequel la voiture est en train de glisser, mais toujours regarder là où je veux que ma voiture me dirige
TF1 News : Si je sens que ma voiture dérape, que dois-je faire ?
S.T. Si on sent que sa voiture part un peu en dérapage, la meilleure technique pour la contenir aussitôt, sachant que l'on est normalement à des vitesses réduites sur ces routes-là, c'est de débrayer à fond et de laisser la voiture se calmer avant de relever doucement l'embrayage. On ne freine surtout pas.
Si jamais le dérapage est important, c'est-à-dire que la voiture est en train de prendre beaucoup d'angle, alors il va falloir débrayer ET contre-braquer.
C'est une manœuvre qui n'est pas très facile à faire sauf si on connait une petite astuce : ne jamais regarder l'endroit vers lequel la voiture est en train de glisser, mais toujours regarder là où je veux que ma voiture me dirige. Vos mains sont en effet programmées pour vous emmener instinctivement là où vos yeux regardent.
Si vous regardez le fossé, vous irez au fossé. Si votre regard reste concentré sur la sortie du virage, vos mains vont automatiquement contre braquer avec la bonne amplitude pour vous y emmener.
Comme tout système électronique, l'ESP a ses limites
TF1 News : A quoi servent l'ABS et l'ESP dans ces moments là ?
S.T. : L'ABS est un système électronique qui permet , lors d'un freinage brutal, d'éviter le blocage des roues et donc de partir en glissage. L'ABS corrige automatiquement l'erreur de pilotage du conducteur pour optimiser le freinage et, permet ainsi, surtout sur la neige, de garder le pouvoir directionnel de la voiture.
L'ESP est, quant à lui, un système de correction de trajectoire. Il va aider la voiture à conserver sa trajectoire si j'oublie de braquer. Mais attention, comme tout système électronique, l'ESP a ses limites.
Si, à la base, la vitesse n'est pas adaptée pour prendre le virage, et notamment sur chaussée glissante, l'ESP ne pourra pas aller contre les lois physiques auxquelles les voitures sont soumises. L'ESP ne pourra donc pas maintenir la voiture sur sa trajectoire.
TF1 News : Il est parfois conseillé de désactiver l'ESP pour démarrer, pourquoi ?
S.T. : Effectivement, si je veux démarrer dans un endroit très très enneigé et que la voiture patine dès le départ, l'ESP va vouloir empêcher ce patinage et du coup empêcher la voiture de se mettre en mouvement.
Dans ce cas là, on peut désactive r cette fonction le temps de partir, mais il faut penser à le remettre tout de suite après. Généralement, sur les véhicules récents, l'ESP se réactive tout seul dès que vous atteignez les 50 km/h.
Source sur TF1 News : Conduite sur neige : les conseils d'un pro.
Source : TF 1 News
Gilles BOEUF, biologiste marin, Président du Muséum national d'histoire naturelle.
06/02/2013 00:45 par cathy7302
Gilles BOEUF, biologiste marin, Président du Muséum national d'histoire naturelle.
06/02/2013 00:45 par cathy7302
Une partie de la suite de mon post d'hier soir. Extraits de l'article de Gilles Boeuf " Ce serait une folie de penser vivre sans nature "
La situation est préoccupante...
*
Les espèces peuvent-elles aussi servir de modèles biologiques ?
En effet, on a ainsi découvert les mécanismes fondamentaux de la transmission de l'influx nerveux à partir du calmar, des bases moléculaires de la mémoire grâce à une limace de mer.
Beaucoup de Nobel doivent leur prix à la vie qui grouille dans les océans ! Il ne faudrait pas que ceux-ci deviennent totalement gélatineux, asphyxiés, envahis des seules méduses en raison de la surpêche et de l'acidification des eaux provoquée par le CO2 que nous rejetons.
Cette diversité a aussi un rôle physique et projecteur fondamental dans les équilibres naturels. Ainsi les dégâts du tsunami à Sumatra en 2004 - qui a fait 200 000 morts -auraient été plus dramatiques encore si l'écosystème corallien n'avait pas brisé les vagues. Or, ce corail, qui abrite plus du tiers de la biodiversité marine, est très menacé.
Sur un plan économique, 40 % des échanges, des flux financiers sur la planète sont liés au vivant.... L'espèce humaine va-t-elle pouvoir s'adapter aux changements qu'elle a elle-même provoqués ?
C'est la question centrale de ce siècle. L'humain possède-t-il les ressources génétiques et physiologiques pour faire face à des changements drastiques dans un délai réduit ?
C'est l'un des enjeux de la médecine évolutionniste, une discipline émergente selon laquelle il y a un conflit entre notre génome et notre environnement.
Ainsi depuis 1940, nous avons vu émerger des maladies nouvelles, dont la maladie de Lyme, la légionellose, l'hépatite C...
L'humain ne crée pas de nouveaux pathogènes, mais les conditions de leur dissémination et de leur virulence. Par ailleurs il rejette des milliers de produits chimiques, parfois toxiques, dans l'air et l'eau qu'il consomme.
Le lien entre ce nouvel environnement et certaines épidémies ou perturbations endocriniennes est également une préoccupation montante. Ce sont tous ces bouleversements qu'il faut étudier, car nos capacités d'adaptation ont leurs limites : pour la première fois depuis qu'on la mesure, l'espérance de vie des femmes américaines et japonaises a diminué de trois mois l'an dernier...
Ce que l'on tenait pour acquis n'est donc pas immuable."
Message aux terriens...
Douce nuit,
Cathy
Gilles BOEUF, Président du Muséum National d'histoire naturelle.
05/02/2013 00:08 par cathy7302
Gilles BOEUF, Président du Muséum National d'histoire naturelle.
05/02/2013 00:08 par cathy7302
Je ne peux tout vous le transcrire,
ce serait trop long ce soir, mais voici quelques extraits capitaux, de cet article passionnant paru dans Sciences et Avenir, un magazine auquel je suis abonnée depuis de longues années.
*
Ce serait une folie de penser vivre sans nature
Source : Sciences et Avenir n°792 Paru le 24 janv. 2013
Résumé :
Vous dites qu’il faut réintroduire l’homme dans la nature. Sans rire ?
" Avez-vous vu le film d’anticipation Soleil vert, de Richard Fleischer (1973) ? On y voit Charlton Heston pleurer en découvrant le passé, ces images de somptueux écosystèmes, de vie sauvage et de paysages dis-parus. Cela me donne le frisson quand je projette ces images sur une chanson comme celle du groupe Black Sabbath, où le jeune interprète crie sa hargne : il veut du béton partout et menace d'arracher la moindre touffe d'herbe. C'est visionnaire au sens où cela montre une tendance suicidaire de notre espèce : quelle démonstration de mal-être !
Car c'est une folie de penser que l'humain s'est extrait de la nature et qu'il peut désormais s'en passer. Il en a au contraire vitalement besoin.
N'oublions pas que l'humain est lui-même un fragment de cette nature, à laquelle il ne peut échapper.
Un organisme c'est cent milliards de cellules et mille fois plus de bactéries nichées dans les oreilles, la bouche, les intestins...Chaque humain est une association d'êtres vivants qui ne peuvent se passer l'un de l'autre, et il est dramatique de voir ces symbioses mises en péril par un abus d'antibiotiques et de produits chimiques.
Rappelons aussi que cinquante pour cent des molécules actives utilisées en pharmacie sont issues ou synthétisées à partir de produits naturels. Plus de 22 000 produits ont ainsi été isolés à partir d'organismes marins : certains sont devenus courants pour traiter des herpès ou produire d'autres anti-viraux, par exemple.
Le maintien de la biodiversité est capital pour ne pas nous priver de substances vitales pour l'humanité : et si une espèce qui s'éteint dans l'indifférence générale contenait une molécule anticancéreuse, antifongique ou anti-virale vitale ? "
*
Gilles BOEUF Président du Muséum d'Histoire naturelle
*
Quand, ces grands manitous qui nous gouvernent, eux, si instruits, et intelligents (...) vont-ils en prendre de la graine
?
Douce nuit,
Cathy
Vous êtes tout simplement formidables...
04/02/2013 23:34 par cathy7302
Commentaire de ninanet (02/02/2013 23:51) :
Chère Cathy, dis-toi bien que tout se paye un jour ou l'autre. Un jour ton Chien sera vengé. Bises. Annette
*
Commentaire de precisdelittérature (02/02/2013 07:07) :
Je perçois ton sentiment non pas de haine mais de colère légitime et douleur profonde... Il y a des instants de vie chargés d'émotions, ceux-ci marquent l'esprit et l'âme à tout jamais. Cathy, il existe, oui hélas, il y a des êtres humains qui ne vivent qu'en faisant le malheur des autres. Ils, elles se nourissent littéralement "de souffrances", leur apanage est la destruction par tous les moyens et bien souvent on ne les "voient pas arriver" tant ils savent s'y prendre (les schémas sont souvent répétitifs). Âmes sombres, grises, aux vibrations lentes et à la cruauté raffinée. Ils ou elles brisent, souillent des vies sans vergogne et remords, des âmes dépourvues de discernement et de conscience, aux coeurs durs comme le granit. En revanche, ils peuvent s'honorer de posséder un Ego surdimensionné, une susceptibilité proche de la paranoïa, un orgueil démesuré, et une grande lâcheté qui leur permet de s'attaquer ou de choisir des cibles (humaines ou animales). Tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins, et savourer, amplifier, éliminer tout ce qui dérange etc Des scrupules ? ces gens n'en ont aucun, ils trouvent leur épanouissement dans la défaite de leurs supposés adversaires, dans l'amoindrissement d'un bonheur, une joie de vivre, une réussite quelconque, etc. Comment font- ils pour se supporter eux-mêmes ? La méchanceté gratuite est une composante de ce monde et la véritable bonté est, à mon humble avis, un miracle à sauvegarder. Le clair ressenti des animaux apporte une grande leçon de vie aux humains, pour celles et ceux qui ont une vraie ouverture du coeur et surtout pour ceux qui font le choix délibéré de garder une conscience propre et digne de ce nom. Cathy, il y a quelque chose que nul ne pourra altérer, c'est cet amour et ses souvenirs heureux vécus avec Kaiser, peut-être est-ce cela qui a suscité jalousie cruelle et actes morbides et démesurés ? Demeure dans cette belle énergie (ondes vibratoires élevées, c'est une source de bien-être). Le vrai bonheur agace les ténèbres, parce que sa luminosité dissout et révèle. Un "jour" spécial viendra probablement encore te révèler ce que tu dois comprendre, comme un présent, une guérison... Merci pour ton partage sincère. Avec toute ma sympathie amicale, bises. Pensées de paix intérieure.
*
Toujours un régal, les crêpes !
02/02/2013 13:37 par cathy7302
Toujours un régal, les crêpes !
02/02/2013 13:37 par cathy7302
Faciles, peu onéreuses, les crêpes ont tout bon ! Aujourd'hui est le jour " J " mais je n'attends pas le 2 février pour me régaler.
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Voici une délicieuse recette de SOY ( soy.fr ) à laquelle j'ai apporté une légère modification en utilisant pour moitié dela farine d'avoine qui donne un vrai plus gustatif, sur les conseils de Cléa, dans sa recette de l'Agenda 2013.
Tous les ingrédients sont issus de l'Agriculture Biologique. L'huile et la farine, ingrédients de base, sont infiniment meilleurs, il n'y a aucun doute.
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* 1 litre de lait de soja Biosoy Soja Vanille
* 6 oeuf(s) entier(s)
* 250 g de farine bise
* 250 g de farine d'avoine
* 4 cuillères à soupe d'huile
* 4 cuillère à café de rhum
* 2 zestes d'orange ou 2 cuillères à café de de fleur d'oranger
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Préparation :
* Verser les œufs en séparant les blancs des jaunes.
* Verser les farines dans une grande jatte.
* Faire un puits au milieu et ajouter l’huile et les jaunes d’œufs.
* Mélanger avec un fouet en ajoutant au fur et à mesure le Biosoy vanille (en évitant les grumeaux).
* Laisser reposer la pâte 30 mn au frais.
* Battre le blanc des oeufs pour les monter en neige, et ajouter à la pâte.
* Graisser légèrement une poêle à crêpe et la chauffer.
* Verser une cuillère de pâte et faire cuire les crêpes à feu vif.
*
Très bon week-end,
je vous embrasse,
Cathy
Mieux comprendre la psychologie animale
01/02/2013 18:20 par cathy7302
Mieux comprendre la psychologie animale
01/02/2013 18:20 par cathy7302
Ce vendredi 1 er février 2013
Extrait d'un article que j'ai trouvé passionnant dans le magazine BIOCONTACT n° 231. Janvier 2013
" Au départ du loup des origines, qui s'est rapproché de l'homme il y a quelques milliers d'années lors de sa progressive sédentarisation, toutes les races canines se sont multipliées en fonction directe de la relation privilégiée qui unit l'homme au chien.
Sont alors apparus les chiens miniatures, véritables " bonzaïs " canins, ainsi que des dizaines d'autres races façonnées de main d'homme.
Et sont donc apparus des bouledogues, des yorkshires, des chihuahuas, mais aussi des boxers, des épagneuls, des bergers, etc. Autant de races de chiens dérivées du loup qui sont en fait des représentations quasi parfaites de la psychologie du maître, car il y a des maîtres " boxer " et d'autres " caniche "...
Ce que l'on peut observer de la race canine est unique, et on ne retrouve pas dans les autres espèces animales domestiquées une telle explosion de races avec de telles variations par rapport à l'animal de base.
Pourquoi donc plus de variations d'expressions chez le chien particulièrement ? Parce qu'il partage l'intimité de son maître depuis près de dix mille ans, avec une qualité de présence et de ressenti qui est unique.
Le chat, lui présent dans nos intérieurs depuis quasi autant de temps, a une capacité à s'extraire, à ne partager que ce qui lui convient, ce qui lui a permis d'éviter une partie des problèmes liés à ce qu'on appelle l' " imprégnation " humaine. "