Fen Yang

19/04/2013 22:17 par cathy7302

" Quand tu es dans l'illusion et le doute
même un millier de mots ne suffit pas.
Mais quand tu as compris,
 un seul mot est de trop "



Fen Yang




Bon week-end,

Cathy

Seiryu Toguchi

19/04/2013 16:37 par cathy7302

  • Seiryu Toguchi

    Seiryu Toguchi

    19/04/2013 16:37 par cathy7302

C'est dans le dernier magazine BIOCONTACT
d'avril 2013, n° 234, intitulé :


FASCINANT JAPON

que j'ai lu le dossier sur " OKINAWA, l'Archipel des centenaires ".
Là, Jean-Paul Curtay parle de cet homme de 105 ans,
nommé Seiryu Toguchi.



Voici deux articles du Dr Jean-Paul Curtay à son sujet


*

SEIRYU, FARMER SEDUCTEUR DE 105 ANS




SEIRYU TOGUCHI,
L'UNE DES VEDETTES DE MON LIVRE SUR OKINAWA,
 A ETE REUNI AVEC SA FEMME, 40 ANS APRES SA DISPARITION


Voici ce que j'écrivais sur Seiryu :


" Makoto (Makoto Suzuki l'initiateur
de l'Etude des Centenaires d'Okinawa) a un faible
pour son ami Seiryu. Seiryu Toguchi, 105 ans, devient peu à peu une vedette,
 grâce à lui et grâce à l’étude des Centenaires d’Okinawa, qui vient de faire l’objet d’un magnifique article dans le numéro de National Geographic de Novembre 2005.

 On peut y admirer une superbe photo de Seiryu
, super campé sur ses jambes, T shirt jaune de Naples,
très élégante veste pied de poule, gants de laine rouge dont les bouts sont maculés de terre, appuyé sur le manche de sa bêche, pour prendre une petite pause, les yeux clignés au soleil. Un beau visage lisse de farmer séducteur.

A 105 ans, Seiryu peut séduire.
 D’ailleurs, je le signale, il est veuf depuis les années 70.
 Mais loin d’être seul. Il a cinq frères et sœurs, et surtout beaucoup
d’amis qui viennent le voir et lui donner s’il le faut un coup de main tous les jours.

Il est toujours fermier,
 cultive son jardin et vend ses légumes
à des restaurants ! Le soir il chante en s’accompagnant
 de l’instrument à cordes traditionnel d’Okinawa.

Et comme il apprécie énormément son quotidien,
 il a décidé depuis quelque temps de mettre encore plus de chances
de son côté de durer, et il s’offre une petite visite toutes les deux semaines au dispensaire, histoire de vérifier que tout va bien.

 Il y a trois ans, Makoto l’a convaincu d’écrire
sa vie et lui a trouvé un éditeur. Si vous lisez le japonais,
 vous pourrez donc vous procurer en librairie « Robinson Crusoe de 102 ans »
illustré de nombreuses photos".


Dr Jean-Paul Curtay



OKINAWA, le Modèle !

18/04/2013 21:41 par cathy7302

Ce jeudi 18 avril 2013




OKINAWA...




Un archipel, au large du Japon,
 qui m'a toujours fascinée. Une philosophie
que j'admire, et qui devrait être celle de toutes les nations...
Puisque la Solidarité y est le maître mot.
La manière de s'alimenter des Okinawaiens,est un véritable modèle
de Santé et de Longévité.

J'ose espérer que la catastrophe
 de Fukushima n'a rien altéré de cet équilibre...



*

OKINAWA et son fameux
 " régime ", OKINAWA, et ses centenaires !



Le livre " Le régime Okinawa " a fait partie de ma bibliothèque
peu après sa sortie en juillet 2007. Un livre que j'ai également offert maintes fois,
parce vraiment, c'est un cadeau magnifique et très apprécié !


Vous ne connaissez pas encore
ces îles du pacifique sud ? Quelques infos...


*



L'archipel Okinawa ( 沖縄諸島, Okinawa shotō? ),

 ou îles Okinawa, est un groupe d'îles au sud-ouest du Japon,
 faisant partie des îles Ryukyu et donc de la préfecture d'Okinawa,
au nord-est de l'île de Taïwan.
 Les archipels Kerama et Daitō sont parfois
considérés comme faisant partie de celui d'Okinawa.

On y parle l'okinawaïen,
 qui fait partie des langues ryukyu.


Wikipédia.








Les points essentiels


Quel est le secret de cette longévité ?
Pour le Dr Jean-Paul Curtay, auteur d’un livre sur Okinawa,
on peut distinguer plusieurs points essentiels qui peuvent expliquer
 cette santé exceptionnelle :


De la mesure :

 pas question de se remplir l’estomac,
les gens d’Okinawa quittent la table à 80 % plein. L’idée est
de ne pas se sentir lourd en se levant.

Les végétaux avant tout :

Fruits, légumes et céréales représentent 70 %
de leur alimentation. Le reste est composé de poisson.
Ils ont ainsi du soja à tous les repas
 (deux fois plus que les Japonais du continent !),


5 légumes différents par jour :

du riz, du thé, des aromates et des épices.
En revanche, les fruits sont là-bas un produit de luxe,
 et ne sont pas consommés fréquemment.


Plus de poisson que de viande :

Outre les vertus du poisson qui ne sont plus
 à démontrer, ce régime aurait pour intérêt de limiter les risques d’apports
trop importants en fer, qui va augmenter les risques d’oxydation.


Du mouvement !
Les habitants d’Okinawa marchent beaucoup,
travaillent vieux. Ils font du Tai Chi Chuan, jouent au croquet.
C’est aussi sur cette île qu’a été inventé le Karaté.


De la sérénité :

 Les gens d’Okinawa prennent le temps de se poser,
ils vont une fois par jour sur la plage simplement pour remercier
 la vie d’être là.


*


 Pour le Dr Curtay,

" il faut savoir s’arrêter. Dans nos sociétés,
on est sur-stimulé par ce qui nous entoure : le bruit, le stress.…".


 Mais comment faire une coupure ?

 " Par exemple, vous pouvez avant chaque repas
prendre une pause pour respirer, vous calmer, ressentir votre corps.
Ainsi, vous n’abordez pas le repas en étant stressé, et vous évitez de vous remplir " propose le Dr Curtay.



La vie communautaire :
Tous les habitants d’Okinawa sont très entourés.
Non seulement ils s’impliquent dans la vie du village, mais ils appartiennent
 à des sortes de clubs de quartier qui se réunissent chaque semaine
et où tous montrent leur solidarité. "


Doctissimo.






OKINAWA, le Rêve !

Anti-Age visage aux huiles esssentielles

18/04/2013 16:05 par cathy7302

  • Anti-Age visage aux huiles esssentielles

    Anti-Age visage aux huiles esssentielles

    18/04/2013 16:05 par cathy7302

Dans un flacon de verre fumé,

mélanger 25 ml d'huile de Rose musquée et 25 ml d'huile d'Argan

*

Y ajouter les huiles essentielles suivantes :



* Ciste ladanifère : 8 gouttes

* Bois de Hô : 4 gouttes

* Géranium Rosat : 8 gouttes


*

Deux fois par jour massez votre visage,
 votre cou et votre décolleté avec vos deux mains,
 et avec plaisir. A répéter dans la journée, si vous en ressentez
le besoin. Rien n'empêche d'utiliser une crème
de jour ou de nuit.




Julien Kaibeck





Christian Janin

17/04/2013 23:14 par cathy7302

  • Christian Janin

    Christian Janin

    17/04/2013 23:14 par cathy7302

" Il n'y a pas d'amour sans admiration "



Christian Janin

17 avril 2013...

17/04/2013 22:11 par cathy7302

Ce mercredi 17 avril 2013







Ce 17 avril est ton quatrième printemps,
KAISER mon beau Prince...


et aussi, sept mois d'absence,
mais toujours si présent dans nos coeurs...


Je suis unie à toi,
*, qui aimais tant ton gros bébé.
Il n'y avait pas d'autre alternative :
 quand on voyait KAISER,on ne pouvait que l'aimer,
son regard en disait tellement long ! Un regard de velours,
un charisme que des humains lui auraient envié...
C'est toi, ce magnifique Rottweiler,
attachant et protecteur.





Sur cette photo, la jolie balle orange
 que je lui avais offerte pour ses trois ans, lorsqu'il
était encore à la maison. Une épreuve, que de la voir, la toucher,
y voir les petites marques de tes dents...
Oui, tu la bichonnais cette balle !



* Photos KTY
CK
17/04/2013

***

16/04/2013 22:35 par cathy7302

  • ***

    ***

    16/04/2013 22:35 par cathy7302

TRUST THE WISDOM OF THE HEART


Crois en la sagesse du coeur


*



Un joli message Yogi Tea




Douce nuit,
je vous embrasse,

Cathy

Le temps de l'aventure

15/04/2013 16:31 par cathy7302

Ce lundi 15 avril 2013







C'est samedi soir que j'ai vu ce film
dans " mon " petit cinéma favori." La rencontre ",
un thème qui m'a toujours fascinée, et me fascine toujours.

" La rencontre ", celle qui vous tombe dessus,
 comme cela, sans préavis...

Emmanuelle Devos est magistrale,
 j'aime beaucoup sa simplicité, sa beauté naturelle,
sans chichis.



*


Date de sortie :
10 avril 2013

Durée : 1h 45min

Réalisé par :
Jérôme Bonnell

Avec :

Emmanuelle Devos, Gabriel Byrne,
Gilles Privat

Genre :

Comédie dramatique , Romance

Nationalité :
Française , belge , irlandaise


*

Synopsis


 Une journée. Un train. Deux inconnus.
Des échanges de regards, le cœur qui bat.
Le regarder partir, le perdre à tout jamais ou s’offrir au temps
de l’aventure ? Et si la vie d’Alix basculait...

" Alix (touchante, Emmanuelle Devos),
 43 ans comédienne sans grande conviction,
galère autant sur les planches que sur les castings.
Provisoirement basée à Calais, où sa troupe donne des représentations
 quasi-quotidiennes, elle rentre en coup de vent à Paris
pour une audition.

 Dans le TGV, elle croise
le regard embrumé d’un homme (Gabriel Byrne).
Le réalisateur dit avoir écrit le film pour Emmanuelle Devos,
qu’il avait déjà dirigé dans J’attends quelqu’un. Il choisit de filmer la naissance
 d’un amour et de suivre ses personnages pendant une seule journée,
 quasiment minute par minute, où le temps serait comme suspendu.

 Jérôme Bonnel renoue avec des thèmes
chers déjà évoqués dans ses précédents films, comme la rencontre
 et la passion secrète.

Porté magnifiquement par ses comédiens,
 cette jolie et délicate romance nous offre un beau moment de cinéma."


Alternatives paloises

































Jérôme Bonnell :
le jeune réalisateur






 “ Tout le monde n'est pas capable de se jeter sur un inconnu ”
 Dans “Le Temps de l'aventure”, son cinquième film,
 Jérôme Bonnell raconte quelques heures
 de la vie d'une femme en proie à
un amour inattendu.
Entretien.


Le 09/04/2013 à 15h07
Jérémie Couston



 " Du Chignon d'Olga à La Dame de trèfle
 en passant par J'attends quelqu'un, Jérôme Bonnell
a toujours filmé des personnages à l'affût de romanesque
dans leurs vies quotidiennes. Dans Le Temps de l'aventure, Emmanuelle Devos croise un inconnu dans le train (Gabriel Byrne) et décide
de le suivre dans Paris.

 Quelques heures dans la vie
 d'une femme, d'une actrice, aussi inconsciente
 qu'intrépide. Explications.


*

Encore une histoire d'adultère ?


J'ai du mal à réduire ça à une histoire
d'adultère car ce n'est jamais axé sur le mensonge
 et encore moins sur la culpabilité. Dans un film d'adultère classique,
 le premier obstacle, c'est la morale.

 J'ai préféré mettre en relief l'histoire d'amour.
 La traiter comme une parenthèse dorée, un moment suspendu,
 et surtout pas comme quelque chose de concret et
d'organisé qui reposerait sur le mensonge lié à l'adultère.


Le début du film m'est venu
 comme un rêve ou un fantasme. Je voulais filmer
la naissance d'un désir entre deux personnes qui ne se connaissent pas, dans un lieu incongru. Donc le train est venu très vite.

 Et je voulais accompagner ce désir,
 quasiment minute par minute, avec tous les obstacles
que cela suppose, sachant que ces personnages sont plutôt timides
et qu'ils doivent surmonter cette timidité, accepter d'être courageux.

Tout le monde n'est pas capable de se jeter sur un inconnu.
 L'enjeu consistait à créer un suspense autour de cette idée, un suspense beaucoup plus fort que la situation elle-même. Encore une fois,
 la vraie transgression, c'est d'oser se retrouver dans
la chambre d'hôtel d'un inconnu, et non
de mentir à son mari.


Le problème du mensonge
 est évacué assez vite avec le téléphone déchargé...
Priver un personnage de sa carte bleue et de son téléphone
est un énorme handicap dans notre époque.

 Mais ce handicap devient justement
 la matière même de sa liberté, et il permet au personnage
 d'Emmanuelle Devos de suspendre le temps et d'oser
 vivre cette histoire.
 
En amour, je suis persuadé
 que les grandes décisions se prennent toujours
 à un fil, dans une humeur très précise qui peut changer
d'une minute à l'autre.


Aviez-vous des modèles de films en tête ?


J'ai revu pas mal de films qui se passent
 en une journée mais ce ne sont pas ceux qui m'ont le plus inspiré. D'ailleurs, je ne revois pas des films pour m'inspirer
 mais plus pour stimuler le désir
de mon propre film.

 J'ai eu beau revoir New York-Miami
 ou Vacances romaines, cela ne m'a pas fait plus
d'effet que d'ordinaire. Les films dont je me suis le plus servi
 sont ceux d'Hitchcock, pour le suspense. J'ai revu L'Ombre d'un doute, Le grand alibi, La Maison du docteur Edwardes.

Je ne sais pas si je devrais l'avouer
 mais j'ai aussi revu des Walt Disney, notamment Alice
 au pays des merveilles et Pinocchio, qui sont deux parcours initiatiques.

 Il y a quelque chose de cet ordre dans mon film,
 le côté on avance on ouvre des portes, le désir, la transgression.
 A la fois chez Pinocchio, qui ment et qui est un film rempli
 d'horloges, comme le mien.


A la fois chez Alice, avec toutes ces étapes
vers l'âge adulte à travers le rêve. La question de comment quitter l'enfance est un thème qui me rattrape beaucoup dans mes films.

 Le personnage d'Emmanuelle Devos
 a beau avoir 43 ans, elle n'a jamais quitté sa position d'enfant.
 Peut-être que les événements qu'elle va vivre dans
sa journée vont lui permettre de franchir ce cap.

Les actrices passent souvent
pour des personnes fragiles, immatures, comme les enfants...
Les acteurs aussi.

 Le lien avec l'enfance est nécessaire
 et même indispensable pour s'accomplir dans une vie d'acteur.
 Il faut savoir jouer. Mais je ne pense pas que les acteurs
soient plus narcissiques que les autres artistes.

 Ils s'exposent plus car leur instrument
 c'est leur corps. Au-delà son mystère et de son romanesque
naturels que j'adore filmer, Emmanuelle Devos a un vrai plaisir à jouer.

Dans ce plaisir, qu'elle rend un peu visible
ou plutôt qu'elle n'arrive pas vraiment à cacher, il y a la matière
de son génie. C'est une double complicité, avec le public
 et avec le réalisateur, qui est le contraire
 d'une distance ou d'un recul.

 Cette joie exprimée est une des sources de son grand talent.


Est-ce la raison pour laquelle
vous avez fait de son personnage une actrice ?


Je pense qu'il n'y a pas de meilleure actrice
 qu'Emmanuelle Devos pour jouer une actrice. J'y ai pensé
 pendant tout le film, du scénario au montage. Toutes les situations
dans lesquelles elle se retrouve dans le film ont un lien avec le jeu,
 avec le mensonge, avec l'imposture…

 Le fait de parler anglais
 est un petit masque qui l'aide à aller beaucoup
plus loin. Plus on donne d'obstacles à un acteur, plus il va loin,
 plus il se donne de moyens pour les surmonter et plus il est lui-même
à travers l'effort de composition.

Je suis admiratif du courage des acteurs.
 J'ai tendance à trop les idéaliser mais je les aime d'amour.
Je le dis sans rougir.

Cette parenthèse enchantée
pouvait-elle se passer ailleurs qu'à Paris ?
C'est mon cinquième film et mon premier tourné à Paris.
Jusqu'alors, je n'avais pas envie de tourner à Paris, je suis Parisien
depuis toujours mais je trouvais qu'on ne manquait
 pas de films parisiens.

 J'avais une attirance pour
 les petites villes pour d'autres raisons :
mes précédents films étaient des histoires de famille,
qui convenaient mieux à une ambiance provinciale.

 Pour ce film, je voulais me retrouver
dans le même état que mon personnage, étranger
dans sa propre ville puisqu'elle arrive le matin et repart le soir sans
 y dormir. Il y a un flottement, une urgence qui me plaisaient.

J'ai parsemé mon film de contrepoints filmés dans la rue.
 La fête de la musique apporte une liesse,
 une joie qui met en relief la mélancolie des personnages.


Tourner ce film l'hiver aurait-il été plus compliqué ?

Le film aurait pu se passer lors
d'une grande manifestation par exemple. Ou à Noël.
 A Noël, il aurait fait nuit plus vite, la réalité serait venu un peu trop tôt.

 J'ai découvert très récemment
une chanson de Barbara qui s'appelle Joyeux Noël
 et qui raconte exactement la même histoire que mon film.
Un homme et une femme qui ne sont pas libres et qui vivent une parenthèse, le temps du jour de Noël.
"




Interview :
Jérôme Bonnell








13/04/2013 06:03 par cathy7302

  • 13/04/2013 06:03 par cathy7302

La FNAC, c'est bien beau,
mais tellement moins qu'une petite librairie !


Hier soir dans la librairie la plus ancienne de la ville,
 j'ai trouvé une carte, à l'occasion de la Fête de la Librairie.
Au dos de la carte, ce texte que j'ai trouvé très joli.



*


" Le lien social est une chose précieuse,
 les libraires tissent des " liens qui libèrent ".
Avec simplicité, ils nous offrent de voir et de parler
 de ce que nous aimons, les livres, de les choisir comme des coquillages
 sur la plage, il y a toujours des livres en librairie.

Les librairies sont des lieux pour découvrir,
 à travers les échanges, l'humanité qui aime curieuse
et empathique "


Jean-Paul Capitani



LA FETE DE LA LIBRAIRIE
par les librairies indépendantes.

Journée mondiale du livre et du droit d'auteur

Samedi 27 avril 2013


*


Une pensée toute particulière
à quatre amis écrivains, qui se reconnaîtront.


Bon week-end,

Cathy


Julien KAIBECK

11/04/2013 22:36 par cathy7302

Je vous avais déjà parlé
 de cet aromathérapeuthe belge,
Julien KAIBECK.


 Je vais m'empresser d'acheter son livre


" Adoptez la slow cosmétique "


Voici, au hasard,
 l'une de ses vidéos, il est formidable !









Douce nuit,
Cathy