30 avril 2012...30 avril 2013...

30/04/2013 22:29 par cathy7302

  • 30 avril 2012...30 avril 2013...

    30 avril 2012...30 avril 2013...

    30/04/2013 22:29 par cathy7302

Un ciel chaotique, identique à celui d'aujourd'hui...
Ce 30 avril 2012 est un sale anniversaire, comment m'imaginer que l'an dernier,
 je quittais KAISER, mon beau Prince, pour ne jamais le revoir...

Me voyant éclater en sanglots sur le canapé,
je le vois encore, bondir sur moi, me couvrant de léchouilles
pour me consoler...

La plaie est béante, c'est un crève-coeur de revoir ce cliché,
 la dernière photo de lui et moi.


*

Mais le 30 avril est aussi
 l'anniversaire de mon Amie Annette,
ninanet.

Une femme enthousiaste et peine de vie,
 qui écrit de beaux romans.

ninanet

Christian BOBIN

29/04/2013 22:17 par cathy7302

  • Christian BOBIN

    Christian BOBIN

    29/04/2013 22:17 par cathy7302

« La beauté du monde est belle
 de ne rien dédaigner.


Tout lui est refuge, temple, scène.
La beauté du monde a posé ce matin ses mains de neige sur mes épaules.


Elle m’a regardé droit dans les yeux, m’a dit :

“toi, tu devrais faire comme moi, longtemps dormir,
longtemps mourir, une cure d’absence et de silence.


Regarde comme ça me va bien.”
Et la beauté du monde s’est mise à danser sur le bureau
 - une danse maladroite, adorable.
J’ai souri. Je me suis préparé une troisième tasse de café.
 Les deux premières ne comptent pas.

La beauté du monde s’est assise au bord de la tasse, m’a dit
: “devine d’où me vient ma fraîcheur.”
“Je ne sais pas”, lui ai-je répondu, “écarte toi un peu,
je ne veux pas t’avaler avec mon café.”


La beauté du monde a éclaté de rire,
 a fait le tour de l’appartement, mis son nez dans mes carnets,
ramassé un pull qui avait glissé d’un fauteuil, s’est penchée à la fenêtre,
s’est retournée en criant :

“ma fraîcheur, tu sais, c’est parce que je désespère
et que j’espère dans le même temps, à chaque seconde, ça me va bien au teint,
 tu ne trouves pas ?”
Puis la beauté du monde est partie
dans toutes les directions à la fois et je suis allé me préparer
une quatrième tasse de café.»



- Christian Bobin in «Autoportrait au radiateur»

***

29/04/2013 21:49 par cathy7302

  • ***

    ***

    29/04/2013 21:49 par cathy7302

Saviez-vous que...


 Les hommes timides seraient de meilleurs amants,
Car derrière leur timidité se cache une grande sensibilité...?







A mon avis, ce doit être assez vrai.

Douce nuit,
Cathy

L'écume des jours

28/04/2013 21:52 par cathy7302

Ce dimanche 28 avril 2013


C'était vendredi soir
dans " mon " petit cinéma favori.
Sur le fond, l'histoire serait plutôt plaisante,
 mais pas du tout sur la forme : je n'aime pas le surréalisme.
 Idem pour le livre de Boris Vian, dont le film est tiré de manière fidèle.
J'ai choisi la critique ci-dessous, qui résume bien
mon ressenti : très peu d'émotion se dégage
de ce film " abracadabresque "








Date de sortie : 24 avril 2013

Durée : 2h 05min

Réalisé par :
Michel Gondry

Avec :
Romain Duris, Gad Elmaleh, Omar Sy

Genre :
Comédie dramatique , Fantastique

Nationalité : Française


Synopsis


L’histoire surréelle et poétique
 d’un jeune homme idéaliste et inventif,
 Colin, qui rencontre Chloé, une jeune femme semblan
t être l’incarnation d’un blues de Duke Ellington.

 Leur mariage idyllique
tourne à l’amertume quand Chloé tombe
 malade d’un nénuphar qui grandit dans son poumon.

 Pour payer ses soins, dans un Paris
 fantasmatique, Colin doit travailler dans des conditions
de plus en plus absurdes, pendant qu’autour d’eux leur appartement
se dégrade et que leur groupe d’amis, dont le talentueux Nicolas, et Chick, fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, se délite.







Critique les INROCKS


Saturée d’effets visuels en surface,
 jamais émouvante sur le fond, l’adaptation ratée du classique
de Boris Vian.


Sur le papier, un événement.
 Un livre patrimonial, qui n’est certes pas
un grand roman mais la lecture obligée de tout ado
français depuis plusieurs générations, écrit par le Beigbeder
ou le Manœuvre de l’ère jazzy Saint-Germain-des-Prés.

Un casting plus bankable,
t’es président de Cartier, de la Suisse et des îles Caïmans.
Aux manettes, le réalisateur français le plus hollywoodien-virtuose-techno-chouchou médiatique, abonné au buzz.

Tout cela faisait beaucoup pour un seul film et,
 après avoir vu le résultat sur l’écran, voilà notre sympathique
 et cher Michel Gondry mûr à point pour le proverbial retour de bâton.


Comme son ancêtre Amélie Poulain,
 L’Ecume des jours-le film souffre de deux excès
 intimement liés (non, pas Audrey ni Tautou – l’actrice fait le job
et n’est pour rien dans l’échec du film) : le trop-plein
de rétro et le trop-plein d’épate visuelle.


Avec force costumes, coiffures,
 décors et accessoires, Gondry tente de reconstituer
 l’atmosphère du Paris existentialiste de Vian, mais n’en retient
que les signes extérieurs, le vague parfum nostalgique, l’écume. Passe encore,
 si les personnages étaient suffisamment incarnés pour donner
vie au décorum imitation-vintage.

Ici, ils sont réduits à des figurines,
 écrasés par la débauche d’effets spéciaux
et de friandises visuelles qui saturent chaque centimètre
 carré de l’écran et chaque minute du film.

Sans vouloir réactiver le vieux débat
 “cinéma contre visuel”, L’Ecume des jours nous ramène
au constat éternellement renouvelé que trop de visuel tue le visuel.
Dans Soyez sympas, rembobinez, Gondry avait trouvé l’équilibre
 entre un ancrage réaliste et sa dextérité de Géo Trouvetou
 de l’image.

 Le côté bricoleur de ses pieds nickelés
du remake était synchrone de l’esprit du film,
qui ne se prenait pas au sérieux et ne montrait son brio visuel
qu’avec parcimonie. Ici, le ludisme à la coule laisse place à une démonstration de force technologico-visuelle, comme si Gondry était pris en otage
 par les enjeux industriels du projet et n’obéissait plus
qu’à une logique performative qui écrabouille
 toute émotion.

L’Ecume des jours est un film plein,
 un festin pour les yeux aussi chargé que ces buffets
 pantagruéliques qui barbouillent l’estomac au bout de trois bouchées.
 L’orgie visuelle déployée par Gondry n’est pas une écume mais
une vague, un puissant rouleau qui engloutit tout
 (acteurs, personnages, émotions, spectateurs…)
 et nous laisse sur le sable,
étourdi et hagard.
















Samedi Roumanoff

28/04/2013 11:54 par cathy7302

Ce dimanche 28 avril 2013




Un peu overbookée en ce moment,
je dois faire des choix cornéliens... Mais en tout cas,
quel bonheur de revenir ici, cinq jours
sans mon blog, pfff c'est long !



Quant à l'actualité économique,
mieux vaut en rire...!


*










Le chômage,
 c'est la priorité de la droite,
c'est la priorité de la gauche, ça doit être
pour ça qu'on tourne en rond !



*


Très bon dimanche,
je vous embrasse,

Cathy






Promised Land

23/04/2013 22:39 par cathy7302

Ce mardi 23 avril 2012

C'est samedi soir dans " mon " petit cinéma
 favori que j'ai vu et adoré





Matt DAMON joue à la perfection
et son charme fou ne gâte rien.... L'Amérique que l'ont y voit,
est cette Amérique que j'aime, rurale, sauvage. Loin des
lumières de Las Vegas, ou des paillettes de Hollywood.

*



Date de sortie
17 avril 2013

Duirée : 1h 46min

Réalisé par :
Gus Van Sant

Avec :
Matt Damon, Rosemarie DeWitt,
Frances McDormand

Genre :
Drame

Nationalité :
Américaine





Synopsis

Steve Butler, représentant d’un groupe énergétique,
se rend avec sa collaboratrice Sue Thomason dans une petite
ville de campagne. Les deux employés sont convaincus que les habitants,
 durement affectés par la crise économique, seront disposés à accepter leur proposition – autoriser des forages dans leurs propriétés contre rémunération –,
un revenu qu’ils ne peuvent refuser.

 Mais ce qui s’annonçait comme un jeu d’enfant
pour le binôme se corse lorsqu’un enseignant respecté
 se met à formuler des critiques, soutenu par la campagne populaire d’un activiste écologiste, qui affronte Steve sur le plan personnel aussi bien
 que sur le plan professionnel.






















Alors comme ça, Gus Van Sant s'intéresse au gaz de schiste ?
 On le jurerait, mais ce qui séduit le plus dans Promised Land, c'est autre chose : la délicatesse, éternelle marque de fabrique du cinéaste.

 Et comment il s'approprie,
jusque dans les détails les plus infimes,
 un genre nouveau pour lui, le film dossier.
Depuis son étrange remake de Psychose — reproduit plan par plan,
 et pourtant méconnaissable —, il manifeste cette capacité remarquable
 à faire sienne une forme déjà toute prête.

 Elephant, sa Palme d'or, reprenait
 la structure d'un film anglais d'Alan Clarke.
Plus récemment, Harvey Milk était un biopic en bonne et due forme,
 mais d'abord un film de Gus Van Sant.

Nous voilà dans l'Amérique rurale contemporaine,
 sans plus d'indication géographique, mais filmée avec une rare
tendresse et la patte d'un paysagiste. Deux représentants (Matt Damon, Frances McDormand) d'un grand groupe énergétique au nom évocateur,
Global, débarquent dans une petite ville pour convaincre
 les fermiers, tous endettés,
 d'autoriser le forage de leurs terres
 contre beaucoup d'argent. Or même dans ce trou
 perdu, on sait que l'exploitation du gaz de schiste par fracturation
 hydraulique présente des dangers pour l'environnement,
voire pour la population. La résistance locale s'organise.
Le séjour des visiteurs se prolonge malgré eux.

Une belle anomalie fait tout
de suite la différence avec la routine du cinéma
 engagé : on est du côté des méchants supposés, les représentants du capitalisme, prêts à tout pour faire signer les contrats de forage.

Gus Van Sant crée une intimité avec eux,
en les montrant dans leur motel, au drugstore, dans leur voiture,
le soir au bar karaoké, plus ou moins alcoolisés. Il se taquinent mutuellement — le film est souvent drôle. Ils font un travail qui peut sembler
odieusement cynique, mais, pour le reste,
 ils sont aimables et attentifs.

Ce mélange complexe, Matt Damon
 l'incarne à la perfection. Il est l'auteur du scénario
 — avec un autre acteur de Promised Land, John Krasinski. Il est aussi
une figure de l'oeuvre de Gus Van Sant — quatre films ensemble.

 Dans le premier, Will Hunting,
il représentait l'innocence, l'intelligence désintéressée.
 Alors qu'il a mûri et changé physiquement, cette image
 d'idéaliste lui colle encore à la peau.

Le cinéaste s'en sert pour rendre crédible,
 puis émouvant, ce personnage d'ambitieux altruiste,
 qui est persuadé — s'est persuadé ? — de la convergence
 de son intérêt avec celui des fermiers démarchés. Comme si sa carrière
et l'Amérique profonde pouvaient prospérer de concert.

Même si le récit réserve son lot de rebondissements
 — entre autres, l'arrivée d'un activiste écolo spectaculaire —,
 Gus Van Sant s'attache avant tout au cheminement moral et existentiel
 de son héros. Un type devenu mercenaire sans avoir jamais eu
 le temps d'y réfléchir :

« It's just a job », comme dit sa collègue.

Au-delà du problème du gaz de schiste,
 le film montre comment le système économique
 dévoie les meilleures volontés, favorise les pires réflexes,
 et conduit à ne prendre soin de personne ni de rien. Avec un soupçon
de volontarisme hollywoodien, Promised Land esquisse une sortie par le haut
de cette spirale. Une façon à la fois modeste et très cinématographique d'élever le débat.

 Louis Guichard




HV Calophylle HE Hélichryse Italienne et He Matricaire

23/04/2013 18:01 par cathy7302

  • HV Calophylle HE Hélichryse Italienne et He Matricaire

    HV Calophylle HE Hélichryse Italienne et He Matricaire

    23/04/2013 18:01 par cathy7302

J'ai testé la recette de Julien Kaibeck,
concernant poches et cernes, que nous avons tous
 tendance à avoir certains jours et peux vous assurer,
 qu'elle est efficace dès la première application !


Rappel des quantités :


20 ml Huile de Calophylle

2 gouttes d'HE d'
Hélichryse Italienne

2 gouttes d' HE de
Matricaire


*



A mélanger dans un flacon de verre teinté.


*

Prélevez une goutte de ce mélange,
répartissez-le sur vos deux index et massez
le dessous de vos yeux.




Julien KAIBECK

21/04/2013 21:26 par cathy7302

Passionnée par les incroyables vertus
 des huiles essentielles, et de la beauté au naturel,
j'aimerais vous laisser à la lecture des lignes ci-dessous,
et au visionnage de la vidéo.


Qui est Julien KAIBECK ?


Un jeune homme formidablement sympa !




*




BIO Express :








Julien Kaibeck est avant tout un spécialiste de la beauté.
Il est dès son adolescence passionné par les produits cosmétiques
et la dermatologie. Bon élève, il étudie Sciences Po à l’université mais ne travaille
 que deux ans dans l’administration publique avant de s’enfuir en Californie.

 Là-bas, il se forme à des techniques de massage
innovantes et aux soins de la peau. Il assiste un dermatologue
 cosmétique qui fait fortune dans la lutte contre les rides. Julien découvre ainsi
les peelings chimiques, le BOTOX et autres innovations
 technologiques pour la peau.

En 2002, déçu par la quête de jeunesse incessante
 des patientes de Los Angeles, il revient en Belgique et se forme
à la bio-esthétique et à l’aromathérapie. Pendant 4 années, il est coach beauté
et pratique des soins anti-âge avec succès à de nombreux patients. Il fonde le premier institut de beauté pour hommes à Bruxelles, Monsieur K. Il forme aussi les marques
qui le demandent à des protocoles de soins plus naturels.

 Il travaille à l’époque comme SPA consultant,
 notamment avec l’équipe de l’agence Tip Touch en France.

Au fil du temps, Julien s’intéresse
 de plus en plus aux composants des produits
cosmétiques et découvre que la plupart des soins vendus
 sur le marché contiennent des ingrédients de mauvaise qualité,
dommageables pour la Planète.

Devenu diabétique de type 1 et prenant coeur
 à se soigner au mieux, il se tourne alors définitivement
vers la cosmétique BIO et les huiles essentielles. Au fil des années,
 il se spécialise en aromathérapie scientifique et partage ses connaissances
 dans la presse. Il anime pendant deux ans une rubrique beauté sur une radio locale à Bruxelles et écrit des articles dans la presse gratuite.

 Il donne alors déjà des formations au massage
 et développe des produits de soin pour des marques ou des enseignes
belges et hollandaises.

En 2010, des amis le surnomment
 le « Jean-Pierre Coffe de la beauté »… Il décide alors
de regrouper toutes ses connaissances sur www.lessentieldejulien.com,
un blog vidéo didactique pour apprendre ce qu’est
le bien-être au nature
l.


*

Voici donc ici sa fameuse recette
d'un Sérum anti-âge pour moins de dix euros.

Ma peau n'a jamais été aussi bien que depuis que j'utilise
 les huiles essentielles. Il m'est arrivé d'acheter un sérum CHANEL
 à 75 euros, avec lequel je n'ai constaté aucun résultat...


 J'ai acheté samedi le livre
de Julien :


" Adoptez la SLOW cosmétique "


MERCI Julien, de tes fabuleuses recettes
et astucieux conseils.


Bonne soirée,

Cathy

Sexion d'assaut

20/04/2013 22:18 par cathy7302

Ce samedi 20 avril 2013


Dommage...!
Ma fille ne m'en a pas parlé assez tôt,
 ce soir elle est allée au concert de Sexion d'assaut,
j'aurais bien aimé y être avec elle...

Simplement pour revivre
 nos moments ensemble à la maison, notre complicité.

J'ai vu un bon film à la place.

Je vous embrasse,

douce nuit,

à demain,

Cathy



Bon week-end

19/04/2013 22:32 par cathy7302

En me connectant ce soir
je clique " au hasard " sur le blog
d'un membre connecté lui aussi.
Et tombe sur un compositeur, dont je poste
 ici une vidéo.

J'ai trouvé sa composition
 très belle et l'encourage pour nous offrir
d'autres belles mélodies.

Douce nuit,

je vous embrasse,

Cathy


albert11.vip-blog.com