Adapter un célèbre manga au théâtre : le pari était osé et la compagnie genevoise STT l’a relevé avec « Quartier lointain », une pièce adaptée de la BD éponyme de Jirô Taniguchi. L’histoire d’un homme qui revisite son enfance avec ses yeux d’adultes.
La mise en scène de Dorian Sorrel est à découvrir du 14 au 16 avril à l’Espace Malraux à Chambéry. Par Chrystel Chabert
*
L’histoire :
Hiroschi, un père de famille proche de la cinquantaine, revient dans sa ville natale. Pris d’un malaise, il va vivre une expérience fantastique en se retrouvant propulser l’année de ses quatorze ans, dans son corps d’enfant mais avec son regard d’adulte. Un regard qui lui permettra de mieux comprendre ses parents et sa vie d’alors.
Reportage :
Claudine Longhi-Bernard et Jean-Pierre Rivet, Pierre Maillard
Come back
19/05/2013 21:29 par cathy7302
Ce dimanche 19 mai 2013
Plus d'une semaine loin de mon univers, due à de petits problèmes d'ordinateur. Mais j'ai profité de ce temps merveilleux (...) pour me distraire ! Et oui, la grisaille ambiante et permanente, est propice aux sorties, vous laissant flotter dans une parenthèse enchantée.
Mardi soir, ce fut une pièce de théâtre, jeudi et samedi soirs, un film.
Je n'ai pas oublié mes amis de VIP, ni les autres, ceux qui, par leurs messages ou commentaires, se prêtent au jeu de nos échanges, toujours enrichissants...
Je n'ai pas oublié non plus mes visiteurs, qui, peut-être, ne prennent pas le temps, et c'est dommage... de laisser un signe de leur passage...
Cathy
Assez vrai...
14/05/2013 11:36 par cathy7302
Assez vrai...
14/05/2013 11:36 par cathy7302
Les ponts en France, c'est la BA ( bande-annonce ) des vacances, c'est un teaser très, très long !
En mai, allez, on doit travailler, cinq jours, cinq jours et demi...
Samedi Roumanoff 11/05/2013
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Et oui, les Français n'ont pas bonne réputation, une étude a été réalisée :
" Selon l'Coe-Rexecode (un très sérieux centre d'observation économique), nous les français, serions les plus fainéants d'Europe...
Avec un temps de travail annuel de 1679 heures par français en 2010, nous sommes avec les Finlandais, ceux qui travaillons le moins.
Pour comparaison, nos amis Italiens ont travaillé 134 heures de plus que nous, les Britanniques 177 et nos voisins d'outre-Rhin ont travaillé 225 heures de plus !
A l'inverse, le pays ou l'on se tue à la tache c'est... La Roumanie qui remporte la palme d'Or de l'Etat de plus bosseur !
En revanche, et là on est sauvés (ouf...) les travailleurs indépendants ont eux, une durée effective moyenne de travail supérieure de près de 50% d'un salarié à temps plein, soit 774 heures de plus. "
Cosmopolitan.fr
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Belle journée, et...n'en faites pas trop ! Lol !
Je vous embrasse,
Cathy
CHEBA LOUISA
12/05/2013 22:05 par cathy7302
Ce dimanche 12 mai 2013
La semaine dernière, elle était l'invitée de l'émission Samedi Roumanoff. Je parle de BIYOUNA, une actrice géniale, que j'avais découverte en 2004, avec ma puce, dans un film qui nous avait régalées : VIVA LALDJERIE.
Deux films à l'affiche avec elle en ce moment :
CHEBA LOUISA et MOHAMED DUBOIS
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C'est vendredi soir que j'ai vu
CHEBA LOUISA
un film gai et entraînant, qui vous donne envie de danser dans votre fauteuil !
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Date de sortie : 8 mai 2013
Durée : 1h 35min
Réalisé par : Françoise Charpiat
Avec : Rachida Brakni, Isabelle Carré, Biyouna
Genre : Comédie
Nationalité : Française
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BIYOUNA, l’icône populaire d’Algérie, est issue d'une vieille famille algéroise du quartier populaire de Belcourt (celui de Camus). Enfant, dans les années cinquante, elle accompagne sa sœur chanteuse, Leïla Djazaria, au studio de la radio.
Elle fait ses débuts comme danseuse au Copacabana. A 19 ans, elle interprète le rôle qui va la faire connaître dans toute l'Algérie, Fatma, dans LA GRANDE MAISON (1973) de Mustafa Badie, adapté du roman de Mohamed Dib. Films et téléfilms se succèdent, mais Biyouna ne correspond pas toujours à la culture officielle.
Trop algéroise, trop populaire, trop franche, elle est rejetée par le pouvoir et ses intellectuels.
Elle reprend alors la danse et le chant à La Koutoubia, El Paso, Le Corsaire, pour ne citer que les cabarets les plus connus d'Alger. Sa fibre comique l’amène à écrire et réaliser des one-woman-show, qu’elle présente dans les stades du pays, un pied nez aux islamistes.
Elle sortira pour la première fois d’Algérie en 1999 pour jouer le rôle de Myriem dans le film de Nadir Moknèche, LE HAREM DE Mme OSMANE.
Depuis, elle a sorti en France un album de chansons, RAID ZONE (Warner Music 2001) et joué le rôle principal, MADAME BIYOUNA, dans la première sitcom à succès algérienne.
En 2003, elle tourne à nouveau avec Nadir Moknèche dans VIVA LALDJÉRIE. Depuis son spectacle avec Fellag à l’Opéra-comique en 2003, elle est indésirable à la télévision algérienne. Biyouna a repris ses one-woman-show.
Comme au cinéma.com
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Synopsis
A 30 ans, Djemila, juriste célibataire a enfin son propre appartement... à deux pas de chez ses parents. Française d'origine maghrébine, elle fait tout pour gommer ses origines. Emma, sa voisine déjantée et fauchée, rame pour élever seule ses deux enfants. Alors que tout oppose les deux femmes, une amitié profonde va naître grâce à leur amour de la musique.
Isabelle Carré et Rachida Brakni
Biyouna
Assez occupée
11/05/2013 11:04 par cathy7302
Ce samedi 11 mai 2013
Je ne vous oublie pas, mais, souvent sortie en ces jours de ponts, j'ai peu de courage pour le pc le soir tard. Il fait un froid de canard, et en écrivant la date, j'ai failli écrire " 11 novembre "...!
Les Saints de Glace commencent aujourd'hui, mais nous sommes dans l'ambiance depuis hier.
*
Nous fêtons l'anniversaire de François Hollande à l'Elysée, un évènement bien arrosé, ça fait un an qu'il pleut !
Samedi Roumanoff
*
Bon week-end, et à bientôt, je vous embrasse,
Cathy
07/05/2013 17:39 par cathy7302
Sitting Bull Chef sioux Hunkpapa
« Voyez Mes frères, le printemps est venu ; la terre a reçu l'étreinte du soleil,
et nous verrons bientôt les fruits de cet amour !
Chaque graine s'éveille et de même chaque animal prend vie.
C'est à ce mystérieux pouvoir que nous devons nous aussi notre existence ;
c'est pourquoi nous concédons à nos voisins, même à nos voisins animaux,
le même droit qu'à nous d'habiter cette terre. Pourtant, écoutez-moi, vous tous, nous avons maintenant affaire à
une autre race, petite faible quand nos pères l'on rencontrée
pour la première fois, mais aujourd'hui grande et arrogante.
Assez étrangement, ils ont dans l'idée de cultiver le sol et l'amour
de posséder est chez eux une maladie.
Ces gens-là ont établi beaucoup de règles que les riches peuvent briser
mais non les pauvres. Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et
les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent.
Ils revendiquent notre mère à tous, la terre, pour leur
propres usages et se barricadent contre leurs voisins ;
ils la défigurent avec leurs constructions et leurs ordures.
Cette nation est pareille à un torrent de neige fondue qui sort
de son lit et détruit tout sur son passage.
Nous ne pouvons vivre côte à côte. »
Discours prononcé en 1875
*
Les Indiens, déjà à cette époque voyaient loin...
Je vous embrasse,
Cathy
Bébé KAISER
06/05/2013 05:08 par cathy7302
Ce dimanche 5 mai 2013
LES ANIMAUX SONT DES MAÎTRES SILENCIEUX...
Arrivé à la maison le 27 janvier, pour une semaine, le petit Kaiser fait partie maintenant de la famille. Le voici aujourd'hui pour ses six mois.
* Photos KTY CK 05/05/2013
MUD
03/05/2013 22:17 par cathy7302
Ce vendredi 3 mai 2013
C'était mercredi soir, ce premier mai aux allures de premier décembre, dans " mon " petit cinéma favori, un film, un beau film américain. Dont j'ai entendu deux fois parler par le réalisateur lui-même Jeff Nichols. Il m'a donné très envie de voir
MUD,
ce Robinson Crusoé des temps modernes.
In the Mud for love
*
Date de sortie : 1 mai 2013
Durée : 2h 10min
Réalisé par : Jeff Nichols
Avec : Matthew McConaughey, Tye Sheridan, Reese Witherspoon
Genre : Drame
Nationalité : Américaine
*
Synopsis
Ellis et Neckbone, 14 ans, découvrent lors d’une de leurs escapades quotidiennes, un homme réfugié sur une île au milieu du Mississipi. C’est Mud : un serpent tatoué sur le bras, un flingue et une chemise porte-bonheur. Mud, c’est aussi un homme qui croit en l’amour, une croyance à laquelle Ellis a désespérément besoin de se raccrocher pour tenter d’oublier les tensions quotidiennes entre ses parents. Très vite, Mud met les deux adolescents à contribution pour réparer un bateau qui lui permettra de quitter l’île. Difficile cependant pour les garçons de déceler le vrai du faux dans les paroles de Mud.
A-t-il vraiment tué un homme, est-il poursuivi par la justice, par des chasseurs de primes ? Et qui est donc cette fille mystérieuse qui vient de débarquer dans leur petite ville de l’Arkansas ? *
Reese Witherspoon et Jeff Nichols pendant le tournage.
" La tête posée contre la vitre du train, Jeff Nichols contemple les nuages. Cela fait des mois qu'il n'en a pas vu de si majestueux, dit-il, "à cause de la sécheresse" qui ravage Austin, dans le Texas, où il vit depuis plusieurs années. Pour la première fois de sa vie, le réalisateur, 34 ans, voyage à bord d'un TGV.
En cette ténébreuse soirée de mars, il est invité à présenter en avant-première Mud, sur les rives du Mississippi, son troisième long-métrage, sur d'autres berges, celles du Rhône et de la Saône, à l'Institut Lumière de Lyon.
Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.
Dans le carré première classe, Nichols est entouré de sa femme, surnommée "Missy", et d'Alexandra Henochsberg, la patronne d'Ad Vitam, qui distribue le film en France. Laquelle profite du trajet pour dévoiler au réalisateur l'affiche française de Mud. Soulagement : contrairement à l'affiche américaine, dont il ne goûte guère "le filtre sépia, trop vintage, trop thriller", le cinéaste valide sans réserve la proposition.
Le train s'arrête bientôt en gare du Creusot, en plein no man's land. "On dirait l'Arkansas", vanne gentiment Missy, en référence à l'Etat du sud des Etats-Unis où a grandi son mari.
Une barre chocolatée à la main, Nichols ne relève pas. Il a rencontré Missy à Austin, pendant la post-production d'un documentaire sur le chanteur de country Townes Van Zandt, Be Here to Love Me, de Margaret Brown (2004), sur lequel il est crédité comme "production manager". Vérification faite, le fragile Van Zandt figure toujours en bonne place sur le baladeur de Jeff Nichols, entre deux morceaux d'opéra ; sa chanson Mr. Mudd and Mr. Gold a d'ailleurs donné son titre, de l'aveu même du cinéaste, à Mud.
Tye Sheridan, Matthew McConaughey et Jacob Lofland, dans "Mud", de Jeff Nichols.
Traits à la fois juvéniles et marqués, notre passager parle du chanteur de Waitin' Around to Die des étoiles dans les yeux. Son évocation l'incite, de fil en aiguille, à retracer l'épopée familiale tourmentée des Nichols, son frère leader du groupe de country-punk Lucero, basé à Memphis, son père vendeur de meubles, à Little Rock.
"Sans l'aide et les fonds qu'ils m'ont prodigués, mon premier long-métrage, Shotgun Stories, n'aurait pas vu le jour." Sorti en 2008, le film - sorte de malédiction des Atrides en milieu "redneck" - avait lancé la carrière de Nichols, avant que son successeur, Take Shelter - sorte de plan Orsec en milieu schizophrène -, n'enfonce le clou, quatre ans plus tard.
Tandis que passent les nuages, le grand échalas croise et décroise les jambes, dans un mélange de bonhomie et d'inquiétude. Réalisateur climatique que celui-là. La France lui inspire des sentiments contradictoires : il admire notre séparation stricte de l'église et de l'Etat, mais regrette les barrières que nous opposons à la marche du capitalisme, dans le genie duquel il croit "sincèrement".
Pareillement, ses années à la North Carolina School of the Arts réveillent chez lui des souvenirs mitigés. D'une part, la joie d'avoir appartenu à l'une des plus fécondes "promos" de cette université plutôt anonyme de la côte Est, aux côtés de David Gordon Green, Craig Zobel ou Adam Stone, avec lesquels il est resté très lié - tous sont depuis devenus des producteurs, réalisateurs et/ou directeurs de la photographie en vue du cinéma indépendant américain.
De l'autre, une certaine rancoeur à l'encontre du personnel enseignant, et notamment dudit Gary Hawkins : "Ce professeur m'a éveillé à la littérature sudiste de Larry Brown ou Harry Crews, mais aussi à l'art de la mise en scène, à travers des exercices retors - reconstituer plan par plan une conversation dans un bar ou une scène d'un film d'Hitchcock, par exemple.
Gary m'a par ailleurs présenté à Michael Shannon, qui est devenu mon acteur fétiche. Mais nous avons rompu tout contact dès lors qu'il m'a demandé de retirer son nom du générique de Shotgun Stories, sous prétexte qu'il trouvait le film décevant. Cet homme s'est lancé dans le cinéma sur le tard, et n'a réalisé que des documentaires ;
or, je crois fermement que, le cinéma représentant en soi un risque insensé, il faut se lancer jeune, de manière inconsciente et irresponsable..."
Aureliano Tonet
M.fr Le Monde Culture
*
La quarantaine rugissante de McConaughey
Dans «Mud», grand film le long du Mississippi, l’ancien beau gosse de comédies légères prend une exceptionnelle stature dramatique.
Reese Witherspoon
Matthew McConaughey et Tye Sheridan
Jacob Lofkand et Tye Sheridan
Sam Shepard et Tye Sheridan
* Critique Ciné Addict
" Après l’excellent Take Shelter, Jeff Nichols (Shotgun stories, Take Shelter), scénariste et réalisateur, revient avec Mud, un film initiatique tout aussi brillant.
Au cours d’une de leurs escapades quotidiennes, deux jeunes garçons de 14 ans, Ellis (Tye Sheridan) et Neckbone (Jacob Lofkand), rencontrent un homme mystérieux, Mud (Matthew McConaughey) sur l’île où ils ont l’habitude d’aller jouer.
Celui-ci va leur demander de l’aide pour retrouver sa petite amie et retaper un bateau. Les ennuis vont alors commencer…
Nous voilà donc sur les bords du Mississippi, à suivre l’histoire d’un parcours initiatique, celui d’Ellis, au travers de ses relations. Bien que les autres personnages vivent aussi une histoire, comme celle de Mud et Juniper, elles sont secondaires et viennent enrichir l’histoire d’Ellis.
En premier lieu, on note l’importance de la relation jeune garçon ou « petit scarabée » / figure paternelle ou « mentor », représentée par plusieurs personnages, celui de son père, mais également de Mud, ou encore de Tom (vieux loup solitaire).
Ellis cherche des modèles pour se construire et va tantôt admirer, tantôt être déçu, par ces hommes qui représentent des modèles adultes, des hommes à qui s’identifier. Il va apprendre d’eux, mettre toute sa confiance en eux, être déçus par eux, pour finalement pouvoir grandir et évoluer, devenir autonome, un homme en soi.
Mais ce parcours initiatique, se fait également par rapport aux femmes et aux relations amoureuses. On constatera ici que tous les couples (père et mère d’Ellis / Mud et Juniper / Ellis et May Pearl) traversent des crises et, la femme semble un peu diabolisée, telle une chasseuse qui met la main sur un homme, avec qui elle se marie pour ensuite en faire ce qu’elle veut (la mère d’Ellis selon son père).
Ou encore, une jeune femme dépravée (Reese Witherspoon), qui bien qu’amoureuse de Mud, ne peut s’empêcher de coucher avec tous les « bad boys » qu’elle rencontre, comportement qui est à l’origine des problèmes de Mud. Ou enfin, May Pearl, la jeune fille dont Ellis est amoureux et qui se conduira avec lui comme une peste…
On constatera que les personnages évolueront tout au long de l’histoire et seront différents entre le début et la fin. Ils apprennent de leurs erreurs et tentent d’en tirer des enseignements.
Du point de vue de l’interprétation, les deux jeunes acteurs que sont Tye Sheridan et Jacob Lofland sont excellents. On les suit dans leurs aventures avec autant de plaisir qu’on lirait un livre de Mark Twain.
Quant à Matthew McConaughey, quel plaisir que de le retrouver comme on l’aime ! Après des débuts très prometteurs (Lone Star, Le droit de tuer…) où il révélait un fort potentiel, on avait eu peur en le voyant se pavaner dans des comédies à la « Hanté par ses ex » ou « Un mariage trop parfait », ne pouvant s’empêcher de se déshabiller pour montrer ses abdos (pour le plus grand plaisir de certaines, il est vrai), avant de le voir revenir en grande forme dans « The paperboy » ou « Killer Joe ».
Et il confirme ici son talent !!!
Bref… Avec un bon scénario (bien qu’un peu prévisible), des personnages bien travaillés et de beaux paysages, Mud réussi à nous faire voyager tant visuellement qu’intellectuellement. Malgré quelques longueurs, il dure tout de même 2h10, on sort ravi par cette initiation, ce passage de la vie d’enfant à celle d’adulte. "
Pulp Ginger
L'enfer et le paradis
02/05/2013 10:28 par cathy7302
L'enfer et le paradis
02/05/2013 10:28 par cathy7302
Un maître zen était assis en position de Bouddha. Un valeureux et célèbre guerrier vint le trouver pour lui demander :
- Maître, quelle est la différence entre l'enfer et le paradis ?
- Tu es bien trop sot pour comprendre ! lui dit le maître.
Vexé, insulté, humilié et déshonoré, le samouraï dégaina son sabre pour trancher la tête du maître. Lequel dit alors tranquillement :
- Voici les portes de l'enfer !
En entendant ces mots, le samouraï comprit immédiatement et rengaina son sabre en s'inclinant. Le maître dit tout aussi tranquillement :
- Voici les portes du paradis.
Le samouraï déposa ses armes et devint disciple de la Voie Zen.
Biocontact n° 234 Avril 2013 Fascinant JAPON
Très belle journée, je vous embrasse,
Cathy
1er mai
01/05/2013 13:04 par cathy7302
1er mai
01/05/2013 13:04 par cathy7302
Le muguet fleur du bonheur et des rencontres amoureuses...
" Autrefois, on organisait les " bals du muguet ", où les filles s'habillaient en blanc, et les garçons portaient des boutonnières de muguet. Ces bals étaient les seuls auxquels les parents n'étaient pas conviés...
Au Moyen-âge, les fiançailles ou " accordailles " avaient lieu au mois de mai. On accrochait alors du muguet au dessus de la porte de sa bien-aimée... Aujourd'hui, la fleur est aussi symbole de 13 années de mariage. Pourquoi 13 ? Certains disent que les seuls brins de muguets qui portent bonheur sont ceux qui d'emblée portent 13 fleurs.
Petites légendes autour du muguet :
La fleur aurait orné les portes du paradis lors de la création du monde. Ses clochettes tintaient chaque fois qu'un brave homme passait. Le muguet identifierait donc les bonnes consciences...
En Grèce, on l'appelle aussi " Gazon du Parnasse ". Le muguet aurait été créé par Apollon, dieu du mont Parnasse, pour que les neuf muses puissent marcher sur le tapis sans heurter la délicatesse de leurs pieds. En Grèce, on suspend d'ailleurs toujours des couronnes de fleurs à l'entrée des maisons.
Chez les Celtes, le premier jour de l'année était célébré le 1er mai. Le muguet avait pour eux de réelles vertus porte-bonheur..."