Ralph Waldo Emerson

20/08/2013 16:04 par cathy7302

" Ce que vous êtes,
parle plus fort que ce que
 vous dites "


Ralph Waldo Emerson

Je pense ŕ vous...

18/08/2013 17:41 par cathy7302

Ce dimanche 18 août 2013



Loin des yeux
mais près du coeur...




Je ne vous oublie pas,
et profite de l'été, de ces belles journées
de soleil et de chaleur.

Je vous embrasse,
et vous dis à très vite,

Cathy









BB KAISER

07/08/2013 17:42 par cathy7302

   

                                     
Voici BB KAISER, qui vient d'avoir neuf mois.
Quand il sourit, lol !


 

     
                      
Et TWIST...
son acolyte, toujours prêt à le suivre !




* Photos KTY
CK
08/2013

         

Balade avec mes toutous

04/08/2013 18:15 par cathy7302

Ce dimanche 4 août 2013


Que nous sommes bien en Savoie,
 en période de vacances...Un sentiment de quiétude,
les touristes profitent sereinement de nos beaux lacs, des montagnes,
tandis que les autres sont partis comme un troupeau de moutons
 sur la Côte ( petit clin d'oeil à mon ami Kriss... ),
 un trip qui ne m'attire plus.

A partir en plein rush estival,
je préfère de loin la Côte Ouest, plus calme,
même à cette période.

Et puis...partir quand
 tout le monde est rentré, quel bonheur !

Hier soir, avec mes deux toutous,
je fais une balade au bord d'un petit lac paisible.






BB KAISER et TWIST,
dans la voiture, mais pas ma Choupette,
bien sûr.




Vue de haut, depuis la petite route
qui conduit au lac.





Il est déjà vingt heures,
et dommage, le lac n'a pas sa plus belle couleur,
dans la journée, il est turquoise...





Au fond le Mont Granier




Il y a du monde,
beaucoup mangent au bord de l'eau,
d'autres pêchent, ou encore se promènent,
mais tout le monde respecte le calme de ce lieu préservé.





Majestueux, le Granier et son reflet.






* Photos KTY
CK
03/08/2013

Metro Manila

31/07/2013 16:01 par cathy7302

Ce mercredi 31 juillet 2013


Après la séance de dimanche
en début d'après-midi, je suis retournée
le soir pour un second film, mais bien loin de la légèreté
de Aya de Yopougon.

METRO MANILA est un film très dur,
sans fard. Qui de toute évidence ne vous insuffle pas
 l'envie de visiter Manille...

Partie des montagnes du Nord
des Philippines,dans l'espoir d'une vie
meilleure dans cette mégalopole,cette initiative s'avère
être une monstrueuse erreur...

L'amour qui unit cette  petite famille,
vous prend les tripes.







Date de sortie :
17 juillet 2013

Durée : 1h 55min

Réalisé par : Sean Ellis

Avec :
Jake Macapagal, Althea Vega, John Arcilla

Genre :
Thriller , Drame

Nationalité : Britannique

*

Synopsis

Aspirant à une vie meilleure,
Oscar Ramirez et sa famille quittent
 les montagnes du nord des Philippines où ils vivent et viennent
 s'installer dans la ville de Metro Manila. Proie idéale dans cette ville impitoyable, Oscar va devoir tout risquer pour les siens.






















Misère et corruption :
 « Metro Manila »,


 le meilleur film de l’été

Olivier De Bruyn | Journaliste


*

" Depuis quelques années,
 l’été n’est plus tout à fait une saison morte
 pour le cinéma, rayon nouveautés stimulantes. Et les distributeurs
malins, misant sur la relative accalmie estivale, en profitent pour sortir de leurs cartons des films qui le méritent. Des films qui offrent d’heureuses
 alternatives aux spectateurs fâchés avec les surenchères
 pyrotechniques des blockbusters hollywoodiens.

Une semaine après « Grigris »,
le précipité tchadien de Mahamat Saleh-Haroun,
 un autre film singulier envahit les écrans : « Metro Manila »,
 de Sean Ellis, un cinéaste anglais au pedigree atypique, déjà auteur
ces dernières années de deux fictions remarquées :
 « Cashback » et « The Broken ».

Dans « Metro Manila »,
 le metteur en scène s’éloigne de l’Europe
et plante sa caméra aux Philippines, plus précisément
 dans un quartier de Manille où « simplement » survivre relève de
l’occupation à temps plein.


 Les belles images touristiques
et les clichés afférents ne sont pas de rigueur
 dans ce film fiévreux qui, avec une inspiration de chaque scène,
donne à voir une réalité accablante.

Arnaque et bidonville


Quelque part dans les montagnes
du Nord des Philippines, Oscar Ramirez, avec sa femme
et ses deux gamins, décide de prendre la fuite pour rejoindre Manille.
 Son espoir : trouver un travail, n’importe quel travail, et gagner suffisamment d’argent pour permettre à sa famille de vivre plus dignement que dans
 leur province natale, ce qui, pense-t-il, ne devrait pas être
très compliqué vu la misère sévissant
 dans ladite province.

Une fois arrivé dans la capitale,
 Oscar s’aperçoit rapidement que son rêve
pourtant modeste rime avec naïveté. Arnaqué par un type
 qui s’est fait une spécialité du plumage de provinciaux débarqués en ville
(Oscar n’est pas vraiment une exception en son genre), le héros mal en point échoue dans un bidonville et ignore comment s’y prendre pour nourrir les siens.

Horreur philippine


Le réel, qui tire parfois une drôle de gueule,
 se charge de lui donner la réponse. Suite à diverses péripéties
 qui témoignent de l’horreur économique made in Philippines, Oscar se retrouve
 engagé comme convoyeur de fonds dans une entreprise nichée dans
un des plus dangereux quartiers de Manille.

Chemise propre, salaire en vue,
confrères accueillants : tout irait (presque) bien
 s’il ne fallait pas risquer sa peau à chaque coin de rue et
si le coéquipier d’Oscar, a priori si prévenant, ne jouait pas un double jeu
tordu et à hauts risques.


Manipulation, corruption, engrenage délétère :
 avec « Metro Manila », Sean Ellis, non content de mettre en scène
un film noir doté d’une intrigue et d’un suspens terriblement efficaces (et dont il ne faut, bien sûr, rien dévoiler), radiographie la réalité brute de Manille
 et le sort que la mégalopole réserve à ceux qui n’ont
 rien dans les poches.


Social en déroute


Pendant que Oscar se démène pour prouver
 à ses boss et confrères qu’il mérite de risquer sa peau
 contre quelques centaines de dollars, son épouse, Mai, déambule dans
 la ville dans l’espoir de trouver un job qui lui permette de faire face au quotidien.

Sa jolie silhouette l’entraîne rapidement
 dans un bar où l’on sait comment faire du fric avec
le corps des femmes. Devenir pute, chair à touristes, pour gagner sa vie :
l’héroïne, à vrai dire, n’a pas vraiment le choix.

Et, à certains égards,
 par une curieuse coïncidence temporelle,
 Mai apparaît comme la petite sœur philippine de Mimi,
 l’héroïne africaine de « Grigris », en salles depuis la semaine dernière,
 elle aussi entraînée à vendre son corps pour survivre en ce
très bas monde. L’internationale de la mouise, en quelque sorte.
Toujours plus vite

Avec de tels arguments dans son scénario,
 Sean Ellis aurait pu sombrer fissa dans le misérabilisme
 et la complaisance. Il n’en est rien. Aussi inspiré sur le fond que sur la forme,
 « Metro Manila » avance à un rythme d’enfer, privilégie l’épure,
la suggestion et, sans insistance démonstrative,
 met en scène le déterminisme social sous toutes ses plus effroyables coutures.

Tourné en un temps record (30 jours)
avec des acteurs locaux (tous excellents) et un budget
plutôt réduit (moins d’un million de dollars), « Metro Manila »,
 pour s’inscrire scrupuleusement dans la réalité
 contemporaine des Philippines, enregistre « quelque chose »
 de rude et de juste sur le monde comme il va mal.

 Un univers où la pauvreté et la corruption
 avancent main dans la main et où le miséreux n’a guère
 d’autre choix que de renoncer à ses principes pour survivre.

Cela ne donne pas exactement une comédie,
 mais assurément le meilleur film du moment."



RUE 89
CULTURE



AYA DE YOPOUGON

29/07/2013 23:03 par cathy7302

Ce lundi 29 juillet 2013


Ce n'était ni la Fête ni le Printemps
du Cinéma, mais...en vingt-quatre heures,
j'ai vu trois films. Et moi qui n'ai pas l'habitude d'être assise,
 je dois avouer que j'avais un peu mal
aux fesses, lol !!!

Donc hier après-midi,
 dans " mon " petit cinéma favori,
 premier film. J'étais partie pour l'Afrique,
le Tchad, et finalement c'est pour la Côte d'Ivoire
que je m'envole !

Après que le jeune de l'entrée
m'ait dit que Grigris n'était pas formidable.
Ce film d'animation AYA DE YOPOUGON est super !

Les dessins sont jolis,
les couleurs splendides, l'ambiance
extra, et la musique vous donne envie de bouger !







 


Date de sortie :
17 juillet 2013

Durée : 1h 24min
 
Réalisé par :

Marguerite Abouet,
Clément Oubrerie

Avec :
Aïssa Maïga, Tella Kpomahou,
Jacky Ido

Genre : Animation

Nationalité : Française


*

Fin des années 1970,
 en Côte d’Ivoire à Yopougon,
 quartier populaire d’Abidjan. C’est là
que vit Aya, 19 ans, une jeune fille sérieuse qui préfère
 rester étudier à la maison plutôt que de sortir avec ses copines.

 Aya partage ses journées entre
l’école, la famille et ses deux meilleures amies :
Adjoua et Bintou, qui ne pensent qu’à allergazer en douce
à la nuit tombée dans les maquis.

 Les choses se gâtent lorsque qu’Adjoua se retrouve
 enceinte par mégarde. Que faire ?


*

 La créatrice, originaire de Côte d'ivoire
et arrivée en France à l'âge de douze ans, s'est inspirée
de son enfance pour écrire puis réaliser
 Aya De Yopougon.

Avec le film d'animation Aya de Yopougon,
 dévoilé au festival français d'Annecy, la réalisatrice Marguerite
 Abouet auteur de la BD à succès du même nom, décrit avec un humour piquant
 une Afrique gaie et moderne dans un quartier populaire d'Abidjan",
 refusant "tout misérabilisme".

« Si le film est optimiste,
 il n'est pas pour autant tendre avec ses personnages.
Avec un ton direct où "chacun en prend pour son grade", la réalisatrice
décrit avec un humour féroce les Africains. Les femmes sont vénales et prêtent
à mentir pour trouver une issue favorable, et les hommes lâches,
multiplient les maîtresses et sont peu
présents au quotidien.

…"Je pensais que les pères africains
 allaient me tomber dessus, mais ça n'a pas été le cas,
 car ils reconnaissaient que c'était la réalité", ponctue la jeune réalisatrice
 qui espère diffuser le film ensuite en Côte d'Ivoire, où le quartier
 de Yopougon a été durement touché par la meurtrière
crise post-électorale de 2010-2011. »


 lepoint.fr

































Marguerite Abouet naît en 1971 à Abidjan.
 Elle grandit en famille dans le quartier populaire de Yopougon
jusqu'à l'âge de douze ans. Puis, ses parents l'envoient avec son grand frère
à Paris, où les héberge leur grand-oncle.

 Elle y découvre avec émerveillement
 les bibliothèques et se passionne pour les livres.
 Elle écrit bientôt des romans qu'elle ne fait lire à personne,
 tout en devenant tour à tour punk, supernounou pour triplés, pour mamies
 et papis, serveuse, opératrice de saisie...

Après une carrière d'assistante juridique,
 elle décide de se consacrer uniquement à l'écriture et crée,
 avec la complicité de Clément Oubrerie, le personnage d'Aya. Elle raconte
avec une voix et un humour inédits une Afrique loin des clichés, de la guerre
et de la famine. En 2006, «Aya de Yopougon» est célébré par
le prix du Premier album au Festival international
de la bande dessinée d'Angoulême.

Marguerite Abouet vit aujourd'hui à Noisy-le-Sec,
 près de Paris. Elle écrit de nombreuses histoires pour l'édition,
 la télévision et le cinéma. Elle travaille aussi beaucoup pour l'association
qu'elle a fondée - Des livres pour tous -, dans le but de rendre
le livre plus accessible aux enfants d'Afrique en y créant
 des maisons de quartier-bibliothèques :
www.deslivrepourtous.org



Pour une femme

25/07/2013 23:33 par cathy7302

Ce jeudi 25 juillet 2013



Après l'avoir vu samedi, je l'ai revu lundi,
 pour vous dire que ce film m'a beaucoup plu, tout comme
les personnages, l'histoire, les acteurs, le générique, et le lieu du tournage... LYON et ses environs.








  Genre : Drame

Date de sortie :
03 juillet 2013

Réalisé par :
Diane Kurys

Avec :
Benoît Magimel
,
Mélanie Thierry
,
Nicolas Duvauchelle


Durée : 1h50min

Pays de production : France

Année de production : 2012

Distributeur :
EuropaCorp




Diane KURYS
la réalisatrice






Synopsis

A la mort de sa mère,
 Anne fait une découverte qui la bouleverse :
une photo ancienne va semer le doute sur ses origines
et lui faire découvrir l’existence d’un oncle mystérieux que ses parents
 ont accueilli après la guerre. En levant le voile sur un secret
 de famille la jeune femme va comprendre que sa mère
 a connu un grand amour, aussi
fulgurant qu’éphémère.








A nous Paris

Fabien Menguy


Ce secret de famille prévisible,
 mais finalement bien plus complexe qu’il n’y paraît,
 permet à Diane Kurys de mêler autobiographie, histoire et passion
 dans un film bouleversant et de bien belle facture.








Télé 7 jours
Viviane PESCHEUX

S'inspirant de son passé familial,
Diane Kurys signe une œoeuvre attachante où l’'Histoire
 se mêle à l’'intime. Magistral en mari et frère aimant, Benoît Magimel
compose, avec Mélanie Thierry et Nicolas Duvauchelle, un trio
 amoureux aussi solaire que tourmenté.












Merci à vous, tous mes amis de VIP,
merci de vos commentaires, je viens de tout lire,
 et vous me régalez, j'aime chacun de vous, dans vos différences,
 vous êtes tout simplement formidables !

Je vous aime,
Cathy

Pumpernickel

23/07/2013 12:03 par cathy7302

  • Pumpernickel

    Pumpernickel

    23/07/2013 12:03 par cathy7302


Le PUMPERNICKEL


Je me souviens très bien de ce pain noir
qui me régalait,
en Allemagne, lors de mes escapades
avec mes parents.

Il est aujourd'hui un des indispensables de mon placard
ou plutôt du congélateur. Dont je retire les tranches dont j'ai besoin,
 pour les toaster au grille-pain.

Au petit déjeuner avec de la purée d'amandes,
 au repas, avec du fromage de brebis, ou du roquefort,
 du saumon, c'est un régal !

Bien loin, très loin,
de l'insipide baguette...blanchie aux cachets...


*

 Ingrédients : farine de seigle ;
farine complète de blé ; farine d’orge
(parfois remplacée par du boulghour) ; anis ; coriandre ;
 fenouil ; carvi ; miel liquide ; eau tiède




" Sa couleur noir chocolat,
 le pumpernickel ne la tire d’aucun agent chimique ajouté,
 mais de la bonne vieille réaction de Maillard (brunissement et dégagement
 de composés aromatiques lors de la cuisson), c’est-à-dire de lui-même,
 du seigle à partir duquel il est presque exclusivement conçu
 et du temps qu’il aime visiblement à passer au four
(cuit en moule fermé, il peut en effet
 y rester plusieurs heures).


 Comme c’est le cas de la plupart des pains allemands,
 le pumpernickel joue sur le ratio seigle/blé, mais il demeure,
 malgré tout, parmi les plus noirs de la boulangerie d’Outre-Rhin.

La première mention écrite que nous en possédions
 date de 1450 : elle évoque un pain noir de la région de Westphalie,
 dont il semble bien être originaire. Son curieux nom a mobilisé philologues et ethnolinguistes. Pumpen, en allemand, pourrait se traduire par souffrir de flatulence.

 Surprise, donc. Nickel, lui, serait un diminutif de Nicholas,
 associé traditionnellement à gnome, démon ou Diable. On résumera l’affaire,
comme les dictionnaires les mieux intentionnés le font d’ailleurs,
 en disant que pumpernickel pourrait se traduire par pet du Diable.

 Manière de dire que ce pain de seigle
 est déconseillé aux natures digestives trop délicates ?
Personne, pourtant, n’est tenu d’emprunter cette sente étymologique.

Farines de seigle, de blé complet et d’orge,
 anis, coriandre, fenouil, carvi, miel liquide et eau tiède sont pétris
 pour obtenir une pâte mise en moule couvert pour une durée de 16 à 20 heures ; puis cuite à basse température (110° C°) durant près de 6 heures.

 Cette si longue cuisson confère au pumpernickel
 une saveur inimitable. Il fait d’ailleurs partie de ces pains qui
 ont quitté leur foyer culturel pour se mêler à une histoire mondialisée de la nourriture et de la gastronomie. D’une manière générale, on le perçoit
 comme un pain de mie de seigle de haut prestige
qui fait préférer le couvrir de matière noble
comme le saumon fumé, le caviar,
 un tartare de légumes, etc. "


Le tour du monde en 80 pains.


*


Très belle journée,
je vous embrasse,


A ce soir,
à moins qu'il ne soit très tard.

Cathy.



A mes amis

22/07/2013 23:57 par cathy7302

  • A mes amis

    A mes amis

    22/07/2013 23:57 par cathy7302

Bref passage ce soir,
 pour vous dire que je ne vous oublie pas.
Assez occupée ces jours-ci, mais je suis là, non loin de vous.


Je vous embrasse,

douce nuit,

Cathy

Samedi Roumanoff

19/07/2013 10:35 par cathy7302

  • Samedi Roumanoff

    Samedi Roumanoff

    19/07/2013 10:35 par cathy7302

Cette année,
 même les soldes étaient en soldes !
 Les magasins ont fait moins quarante pour cent ...
De fréquentation...!

Les saisons aussi étaient en soldes.
Moins vingt cinq pour cent sur les saisons...
ce qui nous fait un total de...eh bien une saison en moins
 ou zéro printemps !


*


Belle journée,
à plus tard,
je vous embrasse,

Cathy