Blood ties

10/11/2013 00:35 par cathy7302

Ce samedi 9 novembre 2013


C'était samedi dernier
dans " mon"  petit cinéma favori.





 

Date de sortie :
30 octobre 2013

Durée : 2h07min

Réalisé par :
Guillaume Canet

Avec :
Clive Owen, Billy Crudup, Marion Cotillard

Genre :
Policier

Nationalité :
Américaine , française

*

Synopsis


Avertissement :
 des scènes, des propos ou des images peuvent
 heurter la sensibilité des spectateurs


New York, 1974. Chris, la cinquantaine,
 est libéré pour bonne conduite après plusieurs années
de prison pour un règlement de compte meurtrier. Devant la prison,
Frank, son jeune frère, un flic prometteur, est là, à contrecœur.

 Ce ne sont pas seulement des choix de « carrières »
 qui ont séparé Chris et Frank, mais bien des choix de vies
et une rivalité depuis l’enfance. Leur père Léon, qui les a élevés seul,
a toujours eu pour Chris une préférence affichée, malgré les casses, la prison… Pourtant, Frank espère que son frère a changé et veut lui donner sa chance :
 il le loge, lui trouve un travail, l’aide à renouer avec ses enfants
et son ex-femme, Monica.

 Malgré ces tentatives,
 Chris est vite rattrapé par son passé et replonge.
 Pour Frank, c’est la dernière des trahisons, il ne fera plus
 rien pour Chris. Mais c'est déjà trop tard et le destin des deux frères
 restera lié à jamais.






















Critique
Les Inrocks

Malgré un casting all-stars et James Gray au scénar,
 Guillaume Canet et son “Blood Ties” anesthésient le polar.
 Sortez les mouchoirs.

Le sujet

En 2008, Guillaume Canet incarne
 l’un des premiers rôles des Liens du sang de Jacques Maillot,
 un polar à la française, un peu cheap et très anecdotique. Jugeant peut-être
qu’il y avait là quelques scories à corriger, l’acteur devenu petit prince du box-office décide, cinq ans plus tard, d’en réaliser un remake à sa sauce.

 Comprendre : une version plus classe,
 cette fois-ci aux Amériques, avec un casting quatre étoiles
(Clive Owen, Matthias Schoenaerts, Marion Cotillard…) et surtout
 un coscénariste de prestige (James Gray, dont on se demande bien ce qu’il peut faire dans cette galère). Pour le reste, c’est exactement le même film :
 une banale histoire circa 1970 de rivalité et d’amour contrarié
entre deux frères, l’un, flic à la morale infaillible
 et la moustache bien peignée, l’autre,
 voyou au grand cœur.

Le souci


Affrontements virils, jalousies familiales
et dilemmes moraux : Blood Ties lorgne du côté de la grande
fresque romanesque et puise dans la grammaire classique du polar.

Mais le rêve américain de Guillaume Canet
a ses limites, qui sont celles d’un bon élève, appliqué,
 propre sur lui, éternel petit copiste. Tout est à sa place ici :
la photographie vintage, les décors d’époque, la soul-funk infligée à chaque séquence, les cols pelle à tarte, les personnages de gangsters archétypaux et
d’autres signes d’appartenance à la mythologie Scorsese.

 Il ne lui manque que l’essentiel,
un point de vue, une idée sur le genre qu’il aborde,
 ou, à défaut, un peu de mise en scène. Car rien dans cette falsification
de polar ne dépasse de la surface du plan, rien n’existe en dehors
de la simple illustration publicitaire.

Le symptôme


On aurait tort cependant de nier
 à Guillaume Canet toute singularité. Il y a bien une signature
identifiée chez l’auteur des Petits Mouchoirs, qui a ses obsessions
(l’amitié entre hommes), ses perversions (faire pleurer Marion Cotillard, beaucoup)
et sa lecture du monde, une forme de gentillesse naïve, de bienveillance un peu guimauve. Même lorsqu’il se frotte au genre rugueux du polar, qui exige
une certaine cruauté, il ne peut pas s’empêcher d’arrondir les angles,
 de tempérer sa violence par quelques poussées de sensiblerie :
 ici une leçon de vie adressée à ses enfants
 par un père mourant, là une emphatique déclaration
 d’amour entre frères ou encore un dernier acte de sacrifice chevaleresque.

 C’est plus fort que lui : au Cap-Ferret
 comme dans le Bronx, chez les vacanciers comme
 chez les gangsters, la seule loi qui règne est celle de ce petit
 cœur qui bat.


Romain Blondeau


*

Quel qu'il soit,
on peut toujours " casser " un film.
Seul Dieu est parfait, et l'on pourra toujours
trouver à redire d'un film. Ce qui est bien le rôle de la critique, finalement,même si celle-ci peut n'être que positive.

 Tout dépend de celui ou celle qui
en est l'auteur, et de sa manière dont il,
ou elle a perçu le film.

Personnellement,
j'ai aimé le rythme plutôt cool,
ainsi que les années sonxante dix, et bien sûr,
le lieu, les Etats-Unis. Bravo à
 Guillaume Canet.






Merci ma Sorella...

09/11/2013 23:49 par cathy7302

hebergeur d'image





Merci à Sorella, ma douce amie,
pour ce magnifique gif, tout en finesse et élégance.

Ta Cathy

Les salauds existent...vraiment !

09/11/2013 00:17 par cathy7302

Ecoeurée en apprenant par ma fille,
que ce matin, un jeune motard de 32 ans a été renversé
et mortellement blessé, par une personne à bord d'un fourgon blanc,
prenant la fuite...

Appel à témoins.

Que ce chauffard file en enfer !

Et surtout qu'on le retrouve,
et qu'il ne puisse plus jamais trouver le sommeil.



Aïe aïe aïe !

07/11/2013 23:40 par cathy7302

A n'importe qui,
je conseillerais de se faire
 extraire d'un coup toutes ses dents de sagesse !

C'est d'ailleurs une pratique courante aujourd'hui.

J'étais ado,
lorsqu'on m'a enlevé la première,
 puis une autre, et encore une autre bien plus tard.

Me restait la dernière...
Tout comme les autres, que du bonheur :
 incluse, à moitié couchée... Depuis longtemps, elle me fait mal,
chaque fois, je me dis " allez ouste je la fais enlever "

Et puis, bien sûr vient une accalmie...
alors, " ça peut attendre " et voilà que ça recommence...

Jusqu'au jour, où, comme cet été,
une infection survient, car...ces demoiselles dites
 de sagesse, ne nous amènent que des ennuis...pour parler poliment !

Mais...pas douillette,
 je patiente encore, repoussant à l'infini
l'inévitable extraction.

J'attends donc encore...

Je repousse même la date,
 déjà fixée de l'intervention. En septembre,
il fait si beau et si chaud encore, je veux profiter.

Rendez-vous fixé : 4 novembre.

" Pas plus tôt ?
Non, c'est la première date disponible..."

Le coeur léger, car, non, non,
 je ne suis pas douillette, je me rends
chez le dentiste.

Il me dit :
" Bon, vous avez bien pris
vos médicaments ?


 " Quels médicaments ? "

" Ceux que je vous ai prescrits cet été "

" Ah...non, je n'ai pas eu d'ordonnance..."

Pour la première fois, j'ai complètement oublié,
 et égaré cette fameuse prescription...!

Il fait au mieux,
 et me donne illico un antibiotique,
 et trois comprimés de cortisone. Puis passe à l'acte.
Me demande si ça va, oui tout va bien,
puis de respirer un grand coup.

Je n'ai pourtant jamais eu mal
pour les précédentes, même si chaque fois,
j'ai eu l'impression que le dentiste
allait me dévisser la tête.

Là, rien de tout cela,
 en moins de cinq minutes chrono,
 la dent est sortie. Et...je n'ai rien senti, rien qui puisse
s'appeler douleur en tout cas.

Une fois l'anesthésie passée,
je commence à sentir une douleur.
 
J'avoue, là j'ai vraiment mal. Douleur lancinante.
Je prends mes antalgiques, et le soir plus rien. Nuit calme.

Le lendemain, joue très
enflée, douleur sourde et profonde.

Je reprends de l'aspirine,
- le paracétamol pas top -
  qui me soulagent deux heures.
Idem la nuit.

Depuis lundi,
aucune amélioration.

Patiente, je me dis :
 " ça ira mieux demain..."
 
Mais comme tout semble empirer,
je me dis qu'il vaut mieux retourner chez le dentiste.

Appelé ce matin, il me dit de passer.
 Je lui dis que je viendrai demain mais change vite d'avis,
à la pensée que dans onze jours je m'en vais.

Quatorze heures,
 il me reçoit aussitôt, et voyant ma joue,
semble inquiet aussi.

Rougeur au bas du visage et vers le cou,
joue brûlante.

Il me dit :
 " vous allez commencer
TOUT DE SUITE un autre traitement.
Antibiotique plus fort, et à nouveau cortisone.
 Là, pas le choix ! A la pharmacie même, j'avale les médicaments.

Ce soir, ça va déjà un peu mieux,
joue légèrement dégonflée, et douleur atténuée.
Je ne prends jamais de médicaments, excepté homéopathie
ou huiles essentielles, alors pour une fois...

Ajouté à cela, à cause d'un coup
de froid idiot, mon nerf sciatique est coincé...

Franchement,
depuis trois jours, je ne sais pas
où j'ai le plus mal...lol !
En haut à gauche, ou en bas à droite !

Sept novembre !
Après le dentiste, je fonce chez un kiné,
qui manipule à merveille.

 Travaillant dans un grand hôpital de Lyon,
il se rend chez nous deux fois par semaine. Son cabinet
est rempli ! De gens arrivant tout tordus, pour en ressortir droits
comme des " I " !


Sympa et aimant plaisanter,
il me dit ce soir : "  Allez, montrez-moi
que vous êtes une femme qui se
laisse faire ! "

Lol ! Lol !

Puis, une fois couchée
sur le côté gauche, il me place bien au bord.
Tant et si bien, qu'en souriant, je lui dis : " J'ai l'impression
que je vais tomber... "

Ce à quoi,
 souriant aussi, il me répond :

" Ne vous inquiétez-pas,
je n'ai jamais laissé tomber une femme...!

Relol !

Très décontractée, comme il est recommandé de l'être pour
se laisser manipuler, je ris bien !

Je suis entrée,
en traînant la jambe,
et ressors légère ! Le résultat est là !
Deux jours de calme  ( sniff pas de rollers...) et tout
sera rentré dans l'ordre.

Je me souviendrai de
 ce sept novembre, prévu bien différemment...


Je vous embrasse,
douce nuit,

Cathy

Pablo Neruda

04/11/2013 00:13 par cathy7302

  • Pablo Neruda

    Pablo Neruda

    04/11/2013 00:13 par cathy7302

Malgré mon aptitude
 à savourer l'instant présent,
en ce moment mon esprit bouillonne.
J'ai une pensée par seconde. Et je me demande
 si un millier d'années suffirait à assouvir tous mes rêves...



Je vous embrasse,
douce nuit,

Cathy

Un peu de stress

01/11/2013 16:53 par cathy7302

Ce vendredi 1er novembre 2013








Toujours dans mes bagages,
que je peaufine à présent, car la valise
est prête depuis bientôt une semaine. Mais il me manque
 encore quelques bricoles, sans compter les choses à faire au dernier moment.

Le peu qu'il me manque,
arrive parfois à me réveiller la nuit,
mais ce n'est que du bonheur, j'en conviens.


Je ne procédais pas ainsi auparavant,
mais j'ai bien suivi les conseils du net, j'ai roulé
tous mes vêtements.

Je cible chaque pièce,
afin de ne pas dépasser le poids,
sachant que les affaires de toilette sont toujours
bien trop lourdes. Mais impossible de faire l'impasse sur
les crèmes solaires, et la lotion anti-moustiques.

Je ferai " filmer " ma valise
par SAFE BAG, un service ultra pratique,
qui permet d'avoir un suivi
de notre bagage.

L'attente devant le tapis roulant,
semble me toujours interminable, je crois chaque fois
reconnaître ma valise, et flippe, me disant,
qu'elle a peut-être été perdue ! Les signes distinctifs
s'avèrent indispensables...


C'est avec tendresse,
que je vous souhaite un bon
week-end de Toussaint.


Je vous embrasse,

Cathy.






 






Le créole

29/10/2013 00:03 par cathy7302

  • Le créole

    Le créole

    29/10/2013 00:03 par cathy7302

les bases du créole en 10 leçons

Voici les bases du créole,
 on se concentre, c'est facile:


*


1) Chaque lettre écrite se prononce,
 il n'y a pas de lettre muette en créole

ex: tête = tet


*

2) les sons s'écrivent comme on les entend

ex : coq = kok

en avant = annavan

3) les lettres c, q, u, x n'existent pas en créole


*

4) on met l'accent grave sur un mot pour éviter
le son "an" et avoir le son "anne", comme dans panne = pàn


*


5) pronoms personnels et adjectifs possessifs.
 Il y a la forme normale, et la forme contractée qui est très utilisée

mwen / m = je, me, moi, mon, ma

ou/ w = tu, te, toi, ton, ta

li/ l = il, elle, lui, son, sa

nou/ n = nous, notre

nou/n = vous,votre

yo/ y = ils, elles, eux, leur

exemple: Mwen bwè dlo a = j'ai bu de l'eau

Ou wè li? = tu le vois ?

kay nou = notre maison

Pour avoir le pluriel (mes,tes,ses,nos ,vos, leurs),
 il suffit de rajouter "yo"

exemple: Kay li yo = ses maisons

kay li a = sa maison

kay ou yo = tes maisons

kay nou yo = nos maisons

kay nou an = notre maison

kay yo a = leur maison

kay yo an = leurs maisons (on évite ainsi "kay yo yo")

6) celui ci = sa-a

ceux ci = sa-yo

celui là/celle là = sila a

ceux là/Celles là = sila yo

*


7) le pronom relatif = ki
Il n'y en a qu'un = ki

que,dont,de qui, duquel = on ne met rien

exemple : liv ou te ban mwen an = le livre que tu m'as donné

se li nou bezwen wè = c'est lui que nous avons besoin de voir

Ne pas chercher à traduire le "que" par "ke"

ex: kat nou wè la-a = la maison que nous voyons là
(et non pas "kay ke nou wè la-a")

*

8) en créole, le verbe est invariable,
 et il n'y a pas de conjugaison

*

9) verbe être = il n'y en a pas

ex: Syèl la blé = le ciel est bleu

Mwen bouké = je suis fatigué

"se" ou "ye" peuvent remplacer le verbe être pour certaines phrases

ex : se nomal = c'est normal

ex : kisa sa-a ye? = qu'est ce que c'est?

*


10) avoir = gen (se prononce "gain")
ex : M' gen gran gou = j'ai faim

Mési anpil ! (=merci beaucoup), nou bral palé creol an lot semenn !




Lac du Bourget

28/10/2013 23:36 par cathy7302

Ce lundi 28 octobre 2013


Un temps sublime en cette fin octobre,
un ciel intensément bleu, qui me donne un avant-goût
de vacances...

La douceur m'a permis de rouler sans le toit.
Petit détour par le Lac...



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* Photos KTY
CK
28/10/2013



Comment faire sa valise

26/10/2013 00:06 par cathy7302

Ce vendredi 25 octobre 2013

On fait des listes et des listes,
une pour ce qu'il est impératif d'emporter,
dans la valise, dans le bagage cabine, dans le sac à main,
 une autre pour l'achat de ce qui manque, tout cela n'est rien.
On part avec les fameuses listes en poche,
et on revient avec à peine la moitié...

Il y a toujours quelque chose
qu'on ne trouve pas, qui arrivera " la semaine prochaine ",
 ou bien " ce n'est plus la saison ".

Heureusement qu'on trouve tout,
 sur internet.

J'ai trouvé les conseils qui suivent.




*

Côté Maison

Bien préparer sa valise : les conseils de la rédaction

Par Malvina Hamon - Publié le 17/07/2013













 " Le temps est venu de s'attaquer
à la préparation de sa valise ? Voici nos conseils pour tout y faire rentrer,
l'alléger et des astuces pour une valise parfaite.



Vos vacances sont réservées, votre bagage acheté ?
 Ne reste plus qu'un problème à solutionner : la préparation de la valise. Heureusement, nous sommes là pour vous aider ! Point par point,
suivez nos conseils pour une valise au carré...








1. Tout faire rentrer dans sa valise


Soyons honnêtes, qui ne s'est jamais énervé
 contre un maudit bagage qui ne voulait pas se fermer ?
 Nous avons tous en mémoire une tentative désespérée : assis sur notre valise, appelant du renfort pour s'attaquer à une fermeture qui résiste,
 nous devons finalement nous rendre à l'évidence...
nous ne pourrons pas tout y faire rentrer !

Passées les évidences : acheter une valise plus grande,
 se résigner à faire des choix, ... attaquons nous aux vrais conseils !
À la rédaction, nous sommes unanimes, ne pliez pas vos vêtements cela prend beaucoup plus de place.

 Au contraire, aplatissez les à l'aide
d'un fer à repasser et allongez les au fond de la valise
vous fera gagner de la place. Sans compter les mauvais plis que vous
allez ainsi éviter...

Gardez de côté ce qui ne craint pas
(chaussettes, survêtement...) pour combler les trous.
Outre la place gagnée, cela vous permet de bloquer vos affaires et d'éviter
 ainsi tout risque de liquides renversés, de chocs...

Le meilleur conseil gain de place
revient à Marie François. Pour la journaliste de Maison Magazine,
 rien ne vaut une housse de rangement sous vide. Le principe est simple :
réduire le volume des vêtements. Pour cela, il vous suffit de mettre
dans la housse tout ce qui vous encombre.

 Après l'avoir fermé, ne reste qu'à aspirer
 l'air avec un coup d'aspirateur. Résultat : cela diminue le volume
 de vos vêtements jusqu'à 4 fois.


Notez toutefois que le poids reste identique,
 ne surchargez donc pas vos bagages. Pensez à ajouter dans
 votre valise un fer à repasser si vous n'aimez pas
 les vêtements froissés...

Et voici en bonus, une technique imparable
 proposée par la compagnie aérienne Ryanair pour tout faire
rentrer dans votre bagage de cabine.


2. Alléger sa valise


Outre l'aspect pratique,
 voyager léger est parfois indispensable.
Si vous n'êtes pas prêt à suivre le conseil plein d'humour -
 mais certes assez radical- de Charlotte Bobée, stagiaire à Cotemaison.fr :
" ne pas prendre de valise et acheter sur place, rien de tel pour voyager léger "
nous avons quelques petites idées à vous suggérer.

Cumulés, les produits cosmétiques
peuvent vite alourdir votre valise. Deux solutions
s'offrent à vous pour jouer la légèreté tout en conservant votre confort.
 Acheter vos produits en format miniature. Du dentifrice, au gel douche en passant par la mousse à raser, vous trouverez facilement de quoi vous satisfaire
pour la durée de votre voyage sans être forcé d'emporter
les grands flacons.

Vous pouvez également faire comme
 Nelly Glassmann, journaliste à Cotemaison.fr, en transférant
 vos fins de flacon dans de nouveaux nettement
plus petits que vous achèterez vides
en supermarché.

Un second conseil, souvent négligé
 malgré son efficacité : porter les vêtements les plus lourds
le jour du départ ! Tout ce qui sera sur vous (baskets au lieu de sandales,
 veste à la place du gilet...) allègera d'autant
votre valise.

Extrêmement difficile pour certains,
 évident pour d'autres, ce dernier conseil reste
 la clé du bagage léger : faites des choix ! Posez-vous les bonnes
questions et limitez tout ce que vous emportez " au cas où... " en sachant pertinemment que vous n'y toucherez pas.


3. Conseils pour mesdames


Souvent les dernières à voyager léger,
 les femmes bénéficient pourtant d'un atout indéniable :
 le sac à main. Si vous êtes limitée sur le poids ou la quantité de vos bagages, profitez du sac qui ne vous quitte jamais pour y rajouter ce que
 vous ne pouvez vous résigner à quitter !

Vous voyagez à plusieurs ?
 Optez pour le partage en vous répartissant
 la liste de ce que vous souhaitez apporter. Tandis qu'une
de vos amies prendre le sèche-cheveux, vous vous occuperez du lisseur...


4. Conseils pour messieurs


La véritable mission dans la valise
d'un homme reste sans conteste le rangement
de la chemise et du costume ! Housse et porte-manteau permettent
d'éviter le désastre. Pour les plus minutieux, l'idéal reste toutefois de plier
 ses chemises autour d'un carton (de la même manière que lorsque
vous les achetez en boutique) puis de les envelopper
 dans du papier de soie.

 Vous éviterez ainsi les mauvais plis,
 les frottements mais aussi une chemise toute froissée.
Avis aux adeptes de la cravate,
 ne la pliez surtout pas !


5. Nos meilleures astuces...

Pour ne pas froisser ses vêtements

- Rouler ce qui ne peut être plié.
- Retourner l'intérieur d'une veste ou d'un manteau,
mettre l'épaule dans la seconde épaule et plier délicatement.
- Mettre tout ce qui est plus imposant (jeans, serviettes, ...) en dessous.
Gardez tout ce qui est plus froissable pour poser ensuite dessus.


Des petites idées bien pratiques :


- Pour chasser les mauvaises odeurs
 dans votre valise, commencez par disposer vos chaussures
dans un sac à part que vous glisserez dans la valise.

Vous pouvez aussi déposer dans votre bagage
 un sachet parfumé ou un foulard que vous parfumerez
vous même pour éviter que vos vêtements ne s'imprègnent d'odeurs
 désagréables pendant le voyage.

- N'oubliez pas de mettre vos divers
 produits liquides dans un sac à part. Si une fuite
 arrive cela évitera qu'elle se propage dans tout votre bagage.

- La taille de la valise : ni trop petite pour ne pas tout tasser,
 ni trop grande pour ne pas être tenté de s'encombrer.

- Pensez à mettre tous les papiers importants
 (carte d'embarquement, carte routière, billet de train...)
 dans une pochette à part. Cela vous épargnera de vider toute votre
 valise lorsque vous en aurez besoin. "







Je vous souhaite une douce nuit,

je vous embrasse,

Cathy




ORLY

24/10/2013 00:28 par cathy7302


ORLY par yacine__









Douce nuit,
je vous embrasse,

Cathy





Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu´eux deux
La pluie les a soudés,
Semble-t-il, l´un à l´autre
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu´eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire « Je t´aime! »
Elle doit lui dire « Je t´aime! »
Je crois qu´ils sont en train
De ne rien se promettre
Ces deux-là sont trop maigres
Pour être malhonnêtes

Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu´eux deux
Et brusquement, il pleure
Il pleure à gros bouillons
Tout entourés qu´ils sont
D´adipeux en sueur
Et de bouffeurs d´espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés
Superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens
L´exploit de les juger

La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c’est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !

Et maintenant, ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l´heure c´était lui
Lorsque je disais "il"
Tout encastrés qu´ils sont
Ils n´entendent plus rien
Que les sanglots de l´autre
Et puis
Et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment, lentement,
Ces deux corps se séparent
Et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu´ils crient
Et puis, ils se reprennent
Redeviennent un seul
Redeviennent le feu
Et puis, se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis, en reculant
Comme la mer se retire,
Il consomme l´adieu
Il bave quelques mots
Agite une vague main
Et brusquement, il fuit
Fuit sans se retourner
Et puis, il disparaît
Bouffé par l´escalier

La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c´est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud!

Et puis, il disparaît
Bouffé par l´escalier
Et elle, elle reste là
Cœur en croix, bouche ouverte
Sans un cri, sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu´elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu´à terre
Ça y est! Elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu´elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là, elle perd l´amour
L´amour le lui a dit
Revoilà l´inutile
Elle vivra de projets
Qui ne feront qu´attendre
La revoilà fragile
Avant que d´être à vendre

Je suis là, je la suis
Je n´ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
.


Jacques BREL