C'était samedi dernier dans " mon" petit cinéma favori.
Date de sortie : 30 octobre 2013
Durée : 2h07min
Réalisé par : Guillaume Canet
Avec : Clive Owen, Billy Crudup, Marion Cotillard
Genre : Policier
Nationalité : Américaine , française
*
Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
New York, 1974. Chris, la cinquantaine, est libéré pour bonne conduite après plusieurs années de prison pour un règlement de compte meurtrier. Devant la prison, Frank, son jeune frère, un flic prometteur, est là, à contrecœur.
Ce ne sont pas seulement des choix de « carrières » qui ont séparé Chris et Frank, mais bien des choix de vies et une rivalité depuis l’enfance. Leur père Léon, qui les a élevés seul, a toujours eu pour Chris une préférence affichée, malgré les casses, la prison… Pourtant, Frank espère que son frère a changé et veut lui donner sa chance : il le loge, lui trouve un travail, l’aide à renouer avec ses enfants et son ex-femme, Monica.
Malgré ces tentatives, Chris est vite rattrapé par son passé et replonge. Pour Frank, c’est la dernière des trahisons, il ne fera plus rien pour Chris. Mais c'est déjà trop tard et le destin des deux frères restera lié à jamais.
Critique Les Inrocks
Malgré un casting all-stars et James Gray au scénar, Guillaume Canet et son “Blood Ties” anesthésient le polar. Sortez les mouchoirs.
Le sujet
En 2008, Guillaume Canet incarne l’un des premiers rôles des Liens du sang de Jacques Maillot, un polar à la française, un peu cheap et très anecdotique. Jugeant peut-être qu’il y avait là quelques scories à corriger, l’acteur devenu petit prince du box-office décide, cinq ans plus tard, d’en réaliser un remake à sa sauce.
Comprendre : une version plus classe, cette fois-ci aux Amériques, avec un casting quatre étoiles (Clive Owen, Matthias Schoenaerts, Marion Cotillard…) et surtout un coscénariste de prestige (James Gray, dont on se demande bien ce qu’il peut faire dans cette galère). Pour le reste, c’est exactement le même film : une banale histoire circa 1970 de rivalité et d’amour contrarié entre deux frères, l’un, flic à la morale infaillible et la moustache bien peignée, l’autre, voyou au grand cœur. Le souci
Affrontements virils, jalousies familiales et dilemmes moraux : Blood Ties lorgne du côté de la grande fresque romanesque et puise dans la grammaire classique du polar.
Mais le rêve américain de Guillaume Canet a ses limites, qui sont celles d’un bon élève, appliqué, propre sur lui, éternel petit copiste. Tout est à sa place ici : la photographie vintage, les décors d’époque, la soul-funk infligée à chaque séquence, les cols pelle à tarte, les personnages de gangsters archétypaux et d’autres signes d’appartenance à la mythologie Scorsese.
Il ne lui manque que l’essentiel, un point de vue, une idée sur le genre qu’il aborde, ou, à défaut, un peu de mise en scène. Car rien dans cette falsification de polar ne dépasse de la surface du plan, rien n’existe en dehors de la simple illustration publicitaire. Le symptôme
On aurait tort cependant de nier à Guillaume Canet toute singularité. Il y a bien une signature identifiée chez l’auteur des Petits Mouchoirs, qui a ses obsessions (l’amitié entre hommes), ses perversions (faire pleurer Marion Cotillard, beaucoup) et sa lecture du monde, une forme de gentillesse naïve, de bienveillance un peu guimauve. Même lorsqu’il se frotte au genre rugueux du polar, qui exige une certaine cruauté, il ne peut pas s’empêcher d’arrondir les angles, de tempérer sa violence par quelques poussées de sensiblerie : ici une leçon de vie adressée à ses enfants par un père mourant, là une emphatique déclaration d’amour entre frères ou encore un dernier acte de sacrifice chevaleresque.
C’est plus fort que lui : au Cap-Ferret comme dans le Bronx, chez les vacanciers comme chez les gangsters, la seule loi qui règne est celle de ce petit cœur qui bat.
Romain Blondeau
*
Quel qu'il soit, on peut toujours " casser " un film. Seul Dieu est parfait, et l'on pourra toujours trouver à redire d'un film. Ce qui est bien le rôle de la critique, finalement,même si celle-ci peut n'être que positive.
Tout dépend de celui ou celle qui en est l'auteur, et de sa manière dont il, ou elle a perçu le film.
Personnellement, j'ai aimé le rythme plutôt cool, ainsi que les années sonxante dix, et bien sûr, le lieu, les Etats-Unis. Bravo à Guillaume Canet.
Merci ma Sorella...
09/11/2013 23:49 par cathy7302
Merci à Sorella, ma douce amie, pour ce magnifique gif, tout en finesse et élégance.
Ta Cathy
Les salauds existent...vraiment !
09/11/2013 00:17 par cathy7302
Ecoeurée en apprenant par ma fille, que ce matin, un jeune motard de 32 ans a été renversé et mortellement blessé, par une personne à bord d'un fourgon blanc, prenant la fuite...
Appel à témoins.
Que ce chauffard file en enfer !
Et surtout qu'on le retrouve, et qu'il ne puisse plus jamais trouver le sommeil.
Aïe aïe aïe !
07/11/2013 23:40 par cathy7302
A n'importe qui, je conseillerais de se faire extraire d'un coup toutes ses dents de sagesse !
C'est d'ailleurs une pratique courante aujourd'hui.
J'étais ado, lorsqu'on m'a enlevé la première, puis une autre, et encore une autre bien plus tard.
Me restait la dernière... Tout comme les autres, que du bonheur : incluse, à moitié couchée... Depuis longtemps, elle me fait mal, chaque fois, je me dis " allez ouste je la fais enlever "
Et puis, bien sûr vient une accalmie... alors, " ça peut attendre " et voilà que ça recommence...
Jusqu'au jour, où, comme cet été, une infection survient, car...ces demoiselles dites de sagesse, ne nous amènent que des ennuis...pour parler poliment !
Mais...pas douillette, je patiente encore, repoussant à l'infini l'inévitable extraction.
J'attends donc encore...
Je repousse même la date, déjà fixée de l'intervention. En septembre, il fait si beau et si chaud encore, je veux profiter.
Rendez-vous fixé : 4 novembre.
" Pas plus tôt ? Non, c'est la première date disponible..."
Le coeur léger, car, non, non, je ne suis pas douillette, je me rends chez le dentiste.
Il me dit : " Bon, vous avez bien pris vos médicaments ?
" Quels médicaments ? "
" Ceux que je vous ai prescrits cet été "
" Ah...non, je n'ai pas eu d'ordonnance..."
Pour la première fois, j'ai complètement oublié, et égaré cette fameuse prescription...!
Il fait au mieux, et me donne illico un antibiotique, et trois comprimés de cortisone. Puis passe à l'acte. Me demande si ça va, oui tout va bien, puis de respirer un grand coup.
Je n'ai pourtant jamais eu mal pour les précédentes, même si chaque fois, j'ai eu l'impression que le dentiste allait me dévisser la tête.
Là, rien de tout cela, en moins de cinq minutes chrono, la dent est sortie. Et...je n'ai rien senti, rien qui puisse s'appeler douleur en tout cas.
Une fois l'anesthésie passée, je commence à sentir une douleur.
J'avoue, là j'ai vraiment mal. Douleur lancinante. Je prends mes antalgiques, et le soir plus rien. Nuit calme.
Le lendemain, joue très enflée, douleur sourde et profonde.
Je reprends de l'aspirine, - le paracétamol pas top - qui me soulagent deux heures. Idem la nuit.
Depuis lundi, aucune amélioration.
Patiente, je me dis : " ça ira mieux demain..."
Mais comme tout semble empirer, je me dis qu'il vaut mieux retourner chez le dentiste.
Appelé ce matin, il me dit de passer. Je lui dis que je viendrai demain mais change vite d'avis, à la pensée que dans onze jours je m'en vais.
Quatorze heures, il me reçoit aussitôt, et voyant ma joue, semble inquiet aussi.
Rougeur au bas du visage et vers le cou, joue brûlante.
Il me dit : " vous allez commencer TOUT DE SUITE un autre traitement. Antibiotique plus fort, et à nouveau cortisone. Là, pas le choix ! A la pharmacie même, j'avale les médicaments.
Ce soir, ça va déjà un peu mieux, joue légèrement dégonflée, et douleur atténuée. Je ne prends jamais de médicaments, excepté homéopathie ou huiles essentielles, alors pour une fois...
Ajouté à cela, à cause d'un coup de froid idiot, mon nerf sciatique est coincé...
Franchement, depuis trois jours, je ne sais pas où j'ai le plus mal...lol ! En haut à gauche, ou en bas à droite !
Sept novembre ! Après le dentiste, je fonce chez un kiné, qui manipule à merveille.
Travaillant dans un grand hôpital de Lyon, il se rend chez nous deux fois par semaine. Son cabinet est rempli ! De gens arrivant tout tordus, pour en ressortir droits comme des " I " !
Sympa et aimant plaisanter, il me dit ce soir : " Allez, montrez-moi que vous êtes une femme qui se laisse faire ! "
Lol ! Lol !
Puis, une fois couchée sur le côté gauche, il me place bien au bord. Tant et si bien, qu'en souriant, je lui dis : " J'ai l'impression que je vais tomber... "
Ce à quoi, souriant aussi, il me répond :
" Ne vous inquiétez-pas, je n'ai jamais laissé tomber une femme...!
Relol !
Très décontractée, comme il est recommandé de l'être pour se laisser manipuler, je ris bien !
Je suis entrée, en traînant la jambe, et ressors légère ! Le résultat est là ! Deux jours de calme ( sniff pas de rollers...) et tout sera rentré dans l'ordre.
Je me souviendrai de ce sept novembre, prévu bien différemment...
Je vous embrasse, douce nuit,
Cathy
Pablo Neruda
04/11/2013 00:13 par cathy7302
Pablo Neruda
04/11/2013 00:13 par cathy7302
Malgré mon aptitude à savourer l'instant présent, en ce moment mon esprit bouillonne. J'ai une pensée par seconde. Et je me demande si un millier d'années suffirait à assouvir tous mes rêves...
Je vous embrasse, douce nuit,
Cathy
Un peu de stress
01/11/2013 16:53 par cathy7302
Ce vendredi 1er novembre 2013
Toujours dans mes bagages, que je peaufine à présent, car la valise est prête depuis bientôt une semaine. Mais il me manque encore quelques bricoles, sans compter les choses à faire au dernier moment.
Le peu qu'il me manque, arrive parfois à me réveiller la nuit, mais ce n'est que du bonheur, j'en conviens.
Je ne procédais pas ainsi auparavant, mais j'ai bien suivi les conseils du net, j'ai roulé tous mes vêtements.
Je cible chaque pièce, afin de ne pas dépasser le poids, sachant que les affaires de toilette sont toujours bien trop lourdes. Mais impossible de faire l'impasse sur les crèmes solaires, et la lotion anti-moustiques.
Je ferai " filmer " ma valise par SAFE BAG, un service ultra pratique, qui permet d'avoir un suivi de notre bagage.
L'attente devant le tapis roulant, semble me toujours interminable, je crois chaque fois reconnaître ma valise, et flippe, me disant, qu'elle a peut-être été perdue ! Les signes distinctifs s'avèrent indispensables...
C'est avec tendresse, que je vous souhaite un bon week-end de Toussaint.
Je vous embrasse,
Cathy.
Le créole
29/10/2013 00:03 par cathy7302
Le créole
29/10/2013 00:03 par cathy7302
les bases du créole en 10 leçons
Voici les bases du créole, on se concentre, c'est facile:
*
1) Chaque lettre écrite se prononce, il n'y a pas de lettre muette en créole
ex: tête = tet
*
2) les sons s'écrivent comme on les entend
ex : coq = kok
en avant = annavan
3) les lettres c, q, u, x n'existent pas en créole
*
4) on met l'accent grave sur un mot pour éviter le son "an" et avoir le son "anne", comme dans panne = pàn
*
5) pronoms personnels et adjectifs possessifs. Il y a la forme normale, et la forme contractée qui est très utilisée
mwen / m = je, me, moi, mon, ma
ou/ w = tu, te, toi, ton, ta
li/ l = il, elle, lui, son, sa
nou/ n = nous, notre
nou/n = vous,votre
yo/ y = ils, elles, eux, leur
exemple: Mwen bwè dlo a = j'ai bu de l'eau
Ou wè li? = tu le vois ?
kay nou = notre maison
Pour avoir le pluriel (mes,tes,ses,nos ,vos, leurs), il suffit de rajouter "yo"
exemple: Kay li yo = ses maisons
kay li a = sa maison
kay ou yo = tes maisons
kay nou yo = nos maisons
kay nou an = notre maison
kay yo a = leur maison
kay yo an = leurs maisons (on évite ainsi "kay yo yo")
6) celui ci = sa-a
ceux ci = sa-yo
celui là/celle là = sila a
ceux là/Celles là = sila yo
*
7) le pronom relatif = ki Il n'y en a qu'un = ki
que,dont,de qui, duquel = on ne met rien
exemple : liv ou te ban mwen an = le livre que tu m'as donné
se li nou bezwen wè = c'est lui que nous avons besoin de voir
Ne pas chercher à traduire le "que" par "ke"
ex: kat nou wè la-a = la maison que nous voyons là (et non pas "kay ke nou wè la-a")
*
8) en créole, le verbe est invariable, et il n'y a pas de conjugaison
*
9) verbe être = il n'y en a pas
ex: Syèl la blé = le ciel est bleu
Mwen bouké = je suis fatigué
"se" ou "ye" peuvent remplacer le verbe être pour certaines phrases
ex : se nomal = c'est normal
ex : kisa sa-a ye? = qu'est ce que c'est?
*
10) avoir = gen (se prononce "gain") ex : M' gen gran gou = j'ai faim
Mési anpil ! (=merci beaucoup), nou bral palé creol an lot semenn !
Lac du Bourget
28/10/2013 23:36 par cathy7302
Ce lundi 28 octobre 2013
Un temps sublime en cette fin octobre, un ciel intensément bleu, qui me donne un avant-goût de vacances...
La douceur m'a permis de rouler sans le toit. Petit détour par le Lac...
* Photos KTY CK 28/10/2013
Comment faire sa valise
26/10/2013 00:06 par cathy7302
Ce vendredi 25 octobre 2013
On fait des listes et des listes, une pour ce qu'il est impératif d'emporter, dans la valise, dans le bagage cabine, dans le sac à main, une autre pour l'achat de ce qui manque, tout cela n'est rien. On part avec les fameuses listes en poche, et on revient avec à peine la moitié...
Il y a toujours quelque chose qu'on ne trouve pas, qui arrivera " la semaine prochaine ", ou bien " ce n'est plus la saison ".
Heureusement qu'on trouve tout, sur internet.
J'ai trouvé les conseils qui suivent.
*
Côté Maison
Bien préparer sa valise : les conseils de la rédaction
Par Malvina Hamon - Publié le 17/07/2013
" Le temps est venu de s'attaquer à la préparation de sa valise ? Voici nos conseils pour tout y faire rentrer, l'alléger et des astuces pour une valise parfaite.
Vos vacances sont réservées, votre bagage acheté ? Ne reste plus qu'un problème à solutionner : la préparation de la valise. Heureusement, nous sommes là pour vous aider ! Point par point, suivez nos conseils pour une valise au carré...
1. Tout faire rentrer dans sa valise
Soyons honnêtes, qui ne s'est jamais énervé contre un maudit bagage qui ne voulait pas se fermer ? Nous avons tous en mémoire une tentative désespérée : assis sur notre valise, appelant du renfort pour s'attaquer à une fermeture qui résiste, nous devons finalement nous rendre à l'évidence... nous ne pourrons pas tout y faire rentrer !
Passées les évidences : acheter une valise plus grande, se résigner à faire des choix, ... attaquons nous aux vrais conseils ! À la rédaction, nous sommes unanimes, ne pliez pas vos vêtements cela prend beaucoup plus de place.
Au contraire, aplatissez les à l'aide d'un fer à repasser et allongez les au fond de la valise vous fera gagner de la place. Sans compter les mauvais plis que vous allez ainsi éviter...
Gardez de côté ce qui ne craint pas (chaussettes, survêtement...) pour combler les trous. Outre la place gagnée, cela vous permet de bloquer vos affaires et d'éviter ainsi tout risque de liquides renversés, de chocs...
Le meilleur conseil gain de place revient à Marie François. Pour la journaliste de Maison Magazine, rien ne vaut une housse de rangement sous vide. Le principe est simple : réduire le volume des vêtements. Pour cela, il vous suffit de mettre dans la housse tout ce qui vous encombre.
Après l'avoir fermé, ne reste qu'à aspirer l'air avec un coup d'aspirateur. Résultat : cela diminue le volume de vos vêtements jusqu'à 4 fois.
Notez toutefois que le poids reste identique, ne surchargez donc pas vos bagages. Pensez à ajouter dans votre valise un fer à repasser si vous n'aimez pas les vêtements froissés...
Et voici en bonus, une technique imparable proposée par la compagnie aérienne Ryanair pour tout faire rentrer dans votre bagage de cabine.
2. Alléger sa valise
Outre l'aspect pratique, voyager léger est parfois indispensable. Si vous n'êtes pas prêt à suivre le conseil plein d'humour - mais certes assez radical- de Charlotte Bobée, stagiaire à Cotemaison.fr : " ne pas prendre de valise et acheter sur place, rien de tel pour voyager léger " nous avons quelques petites idées à vous suggérer.
Cumulés, les produits cosmétiques peuvent vite alourdir votre valise. Deux solutions s'offrent à vous pour jouer la légèreté tout en conservant votre confort. Acheter vos produits en format miniature. Du dentifrice, au gel douche en passant par la mousse à raser, vous trouverez facilement de quoi vous satisfaire pour la durée de votre voyage sans être forcé d'emporter les grands flacons.
Vous pouvez également faire comme Nelly Glassmann, journaliste à Cotemaison.fr, en transférant vos fins de flacon dans de nouveaux nettement plus petits que vous achèterez vides en supermarché.
Un second conseil, souvent négligé malgré son efficacité : porter les vêtements les plus lourds le jour du départ ! Tout ce qui sera sur vous (baskets au lieu de sandales, veste à la place du gilet...) allègera d'autant votre valise.
Extrêmement difficile pour certains, évident pour d'autres, ce dernier conseil reste la clé du bagage léger : faites des choix ! Posez-vous les bonnes questions et limitez tout ce que vous emportez " au cas où... " en sachant pertinemment que vous n'y toucherez pas.
3. Conseils pour mesdames
Souvent les dernières à voyager léger, les femmes bénéficient pourtant d'un atout indéniable : le sac à main. Si vous êtes limitée sur le poids ou la quantité de vos bagages, profitez du sac qui ne vous quitte jamais pour y rajouter ce que vous ne pouvez vous résigner à quitter !
Vous voyagez à plusieurs ? Optez pour le partage en vous répartissant la liste de ce que vous souhaitez apporter. Tandis qu'une de vos amies prendre le sèche-cheveux, vous vous occuperez du lisseur...
4. Conseils pour messieurs
La véritable mission dans la valise d'un homme reste sans conteste le rangement de la chemise et du costume ! Housse et porte-manteau permettent d'éviter le désastre. Pour les plus minutieux, l'idéal reste toutefois de plier ses chemises autour d'un carton (de la même manière que lorsque vous les achetez en boutique) puis de les envelopper dans du papier de soie.
Vous éviterez ainsi les mauvais plis, les frottements mais aussi une chemise toute froissée. Avis aux adeptes de la cravate, ne la pliez surtout pas !
5. Nos meilleures astuces... Pour ne pas froisser ses vêtements
- Rouler ce qui ne peut être plié. - Retourner l'intérieur d'une veste ou d'un manteau, mettre l'épaule dans la seconde épaule et plier délicatement. - Mettre tout ce qui est plus imposant (jeans, serviettes, ...) en dessous. Gardez tout ce qui est plus froissable pour poser ensuite dessus.
Des petites idées bien pratiques :
- Pour chasser les mauvaises odeurs dans votre valise, commencez par disposer vos chaussures dans un sac à part que vous glisserez dans la valise.
Vous pouvez aussi déposer dans votre bagage un sachet parfumé ou un foulard que vous parfumerez vous même pour éviter que vos vêtements ne s'imprègnent d'odeurs désagréables pendant le voyage.
- N'oubliez pas de mettre vos divers produits liquides dans un sac à part. Si une fuite arrive cela évitera qu'elle se propage dans tout votre bagage.
- La taille de la valise : ni trop petite pour ne pas tout tasser, ni trop grande pour ne pas être tenté de s'encombrer.
- Pensez à mettre tous les papiers importants (carte d'embarquement, carte routière, billet de train...) dans une pochette à part. Cela vous épargnera de vider toute votre valise lorsque vous en aurez besoin. "
Ils sont plus de deux mille Et je ne vois qu´eux deux La pluie les a soudés, Semble-t-il, l´un à l´autre Ils sont plus de deux mille Et je ne vois qu´eux deux Et je les sais qui parlent Il doit lui dire « Je t´aime! » Elle doit lui dire « Je t´aime! » Je crois qu´ils sont en train De ne rien se promettre Ces deux-là sont trop maigres Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille Et je ne vois qu´eux deux Et brusquement, il pleure Il pleure à gros bouillons Tout entourés qu´ils sont D´adipeux en sueur Et de bouffeurs d´espoir Qui les montrent du nez Mais ces deux déchirés Superbes de chagrin Abandonnent aux chiens L´exploit de les juger
La vie ne fait pas de cadeau Et nom de Dieu c’est triste Orly, le dimanche, Avec ou sans Bécaud !
Et maintenant, ils pleurent Je veux dire tous les deux Tout à l´heure c´était lui Lorsque je disais "il" Tout encastrés qu´ils sont Ils n´entendent plus rien Que les sanglots de l´autre Et puis Et puis infiniment Comme deux corps qui prient Infiniment, lentement, Ces deux corps se séparent Et en se séparant Ces deux corps se déchirent Et je vous jure qu´ils crient Et puis, ils se reprennent Redeviennent un seul Redeviennent le feu Et puis, se redéchirent Se tiennent par les yeux Et puis, en reculant Comme la mer se retire, Il consomme l´adieu Il bave quelques mots Agite une vague main Et brusquement, il fuit Fuit sans se retourner Et puis, il disparaît Bouffé par l´escalier
La vie ne fait pas de cadeau Et nom de Dieu c´est triste Orly, le dimanche, Avec ou sans Bécaud!
Et puis, il disparaît Bouffé par l´escalier Et elle, elle reste là Cœur en croix, bouche ouverte Sans un cri, sans un mot Elle connaît sa mort Elle vient de la croiser Voilà qu´elle se retourne Et se retourne encore Ses bras vont jusqu´à terre Ça y est! Elle a mille ans La porte est refermée La voilà sans lumière Elle tourne sur elle-même Et déjà elle sait Qu´elle tournera toujours Elle a perdu des hommes Mais là, elle perd l´amour L´amour le lui a dit Revoilà l´inutile Elle vivra de projets Qui ne feront qu´attendre La revoilà fragile Avant que d´être à vendre
Je suis là, je la suis Je n´ose rien pour elle Que la foule grignote Comme un quelconque fruit.