Une Île entre le ciel et l'eau...
21/01/2015 16:10 par cathy7302
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Une Île entre le ciel et l'eau...
21/01/2015 16:10 par cathy7302
Je manque de soleil...
Je manque de chaleur...
Je manque de Toi...
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18/01/2015 22:29 par cathy7302
" Sais-tu que la vie
est le cauchemar de ceux
qui la rêvent ? "
In Apocalypse now.
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J'espère que vous avez passé un bon week-end
malgré cette actualité de plus en plus angoissante.
Je vous embrasse tous,
merci Erik pour tes comms toujours décapants
et attachants !
Cathy
15 janvier 2015
15/01/2015 17:10 par cathy7302
Ce jeudi 15 janvier 2015
Brèves...
Dimanche, j'ai bien sûr participé à la marche contre le terrorisme,
et je peux dire, qu'il y avait très peu de musulmans...bien dommage...Que doit-on on en conclure ?
C'est pour cela que j'ai été très émue par ce couple d'une soixantaine d'années,
brandissant dignement cette pancarte :
" Je suis AMAR, et je suis fier d'être français "...
Hier soir, j'ai vu un très beau film WILD,
On suit pas à pas, cette femme qui parcourt 1700 km à pied,
sur le PCT PACIFIC COAST TRAIL. De superbes paysages, une belle histoire portée
par une actrice superbe, que j'adore :
RESSE WITHERSPOON.
Et...aujourd'hui, grand jour,
neuvième anniversaire de mon VIP blog.
De plus, je me prépare à réaliser mon rêve
vieux de vingt-sept ans, et retrouver mes racines, là-bas, sur cette Île
entre le Ciel et l'Eau...
Je vous embrasse tous,
Cathy
Mother Earth
11/01/2015 01:29 par cathy7302
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Mother Earth
11/01/2015 01:29 par cathy7302
WALK IN BALANCE ON MOTHER EARTH
Tellement beau en anglais...
Bon week-end,
je vous embrasse,
Kty
Hommage à Clarissa
09/01/2015 22:52 par cathy7302
Ce vendredi 9 janvier 2015
Hommage aussi à Clarissa, cette jeune femme assassinée hier matin.

Policière tuée à Montrouge :
"Je me suis dit pourvu que ce ne soit pas ma petite Clarissa"
PORTRAIT -
Clarissa Jean-Philippe, 26 ans, assassinée jeudi au sud de Paris,
était du quartier Derrière Morne à Sainte-Marie (Martinique). Elle venait de passer les fêtes
de Noël avec sa famille sur l’île et s’apprêtait à être titularisée en tant que policière municipale à Montrouge.
Sa famille est sous le choc. La policière stagiaire de 26 ans tuée jeudi matin à Montrouge,
dans le sud de Paris, était originaire d'un quartier rural de la commune de Sainte-Marie en Martinique,
a-t-on appris auprès de ses proches. Dans le quartier de "Derrière Morne", les voisins de la famille ont été sous le choc en apprenant la nouvelle. Beaucoup d'entre eux se sont rendus tout au long de la journée de jeudi dans
la maison familiale pour réconforter et soutenir la mère de Clarissa Jean-Philippe,
qui n’a pas pu prononcer un mot de la journée.
"Quand j'ai entendu l'information jeudi matin à la télévision,
je me suis dit pourvu que ce ne soit pas ma petite Clarissa", a déclaré Marie Georges Chéry,
la grand-mère de la policière. "Et peu de temps après, nous avons appris du fiancé de Clarissa que c'était elle
la policière tuée à Montrouge", a-t-elle poursuivi dans un sanglot, avouant qu'elle avait alors fait un malaise.
La jeune femme était revenue en métropole le 27 décembre après 3 semaines
auprès de sa famille pour fêter Noël.
A la mission locale Nord Martinique à Sainte Marie,
où son nom figure encore dans les fichiers, on se souvient d'elle. "Clarissa était
une jeune fille très motivée, très enthousiaste et désireuse de réussir", a confié à l'AFP un responsable
de la mission qui l'avait accueillie en formation en 2008. C'est après sa formation d'agent de sécurité et de sûreté
que Clarissa était partie pour la métropole en 2013 avant de rejoindre la police municipale comme stagiaire.
Elle devait être titularisée lundi 12 janvier. Plusieurs membres de sa famille devaient quitter
Fort-de-France jeudi soir, pour venir à Montrouge où habitait Clarissa.
Source METRO NEWS
Belle et heureuse année 2015
01/01/2015 18:03 par cathy7302
Ce jeudi 1er janvier 2015

Que cette année 2015
soit emplie de promesses, et voit la réalisation
de vos rêves les plus fous. Après tout...
" On a deux vies...
et la seconde commence le jour où on réalise
qu'on en a juste une..."
Confucius.
Je vous embrasse,
Cathy
JOYEUX NOEL
24/12/2014 15:06 par cathy7302
Ce mercredi 24 décembre 2014
JOYEUX NOEL
à tous les Chrétiens dans le monde.

Pour moi Noël est avant toute chose,
la célébration de la Naissance du Christ, et non ces orgies de nourriture
et de cadeaux, qui sont aujourd'hui légion...
Quel enfant connaît la vraie signification
de Noël, si ce n'est cette croyance ridicule en ce barbu vêtu de rouge...?
Pensons à ceux qui n'ont rien, ou ceux qui sont privés de liberté,
sous des régimes de dictature...
Je vous embrasse,
Cathy.
TIMBUKTU
22/12/2014 23:34 par cathy7302
Ce lundi 22 décembre 2014
J'ai vu ce très beau film la semaine dernière,
j'ai adoré. Un film politique et humaniste, des paysages superbes.
Saisissant, renversant...
Timbuktu : Fiche Technique
Titre original : Timbuktu
Réalisateur : Abderrahmane Sissako
Genre : Drame
Année : 2014
Date de sortie : 10 Décembre 2014
Durée : 97 min.
Casting : Ibrahim Ahmed (Kidane), Toulou Kiki (Satima), Abel Jafri (Abdelkrim), Fatoumata Diawara (Fatou la chanteuse), Hichem Yacoubi (Djihadiste), Kettly Noël (Zabou), Mehdi A.G. Mohamed (Issan), Layla Walet Mohamed (Toya), Adel Mahmoud Cherif (L’Imam), Salem Dendou (Le chef djihadiste)
Scénario : Abderrahmane Sissako, Kessen Tall
Musique : Amin Bouhafa
Chef Op : Sofian El Fani
Nationalité : France
Producteur : Sylvie Pialat, Rémi Burah, Etienne Comar, Olivier Père
Maisons de production : Les Films du Worso, Dune Vision, Arches Films, Arte France Cinéma
Distribution (France) : Le Pacte
*
Timbuktu, un film de Abderrahmane Sissako : Critique
17 décembre 2014
DRAME/BIOPIC/GUERRE
56
Critique Timbuktu : ★★★★☆
Synopsis
Non loin de Tombouctou tombée sous le joug des extrémistes religieux, Kidane mène une vie simple et paisible dans les dunes, entouré de sa femme Satima, sa fille Toya et de Issan, son petit berger âgé de 12 ans. En ville, les habitants subissent, impuissants, le régime de terreur des djihadistes qui ont pris en otage leur foi. Fini la musique et les rires, les cigarettes et même le football… Les femmes sont devenues des ombres qui tentent de résister avec dignité. Des tribunaux improvisés rendent chaque jour leurs sentences absurdes et tragiques. Kidane et les siens semblent un temps épargnés par le chaos de Tombouctou. Mais leur destin bascule le jour où Kidane tue accidentellement Amadou le pêcheur qui s’en est pris à GPS, sa vache préférée. Il doit alors faire face aux nouvelles lois de ces occupants venus d’ailleurs…
Guerre et paix
Parmi les premières images de Timbuktu, une scène montre un ensemble de statues traditionnelles posées dans les dunes, tombant sous les rafales des AK-47 des djihadistes. C’est sous cet angle que d’emblée le mauritanien Abderrahmane Sissako présente ces hommes venus de toutes parts : tout comme les hommes du mouvement Ansar Eddine, des iconoclastes qui prétendent agir au nom de Dieu. mais qui sont en véritable guerre contre leurs propres frères musulmans partisans d’un islam modéré, pacifiste et sans doute plus pieux. Des hommes composant un groupe hétéroclite, certains d’être dans la légalité, de respecter la charia, mais des hommes qui doutent aussi, qui ne sont pas toujours sûrs de leur bon droit. Des jeunes pour la plupart, désœuvrés et à peine conscients des réalités géopolitiques qui existent derrière leur engagement.
L’histoire que nous raconte merveilleusement Abderrahmane Sissako est terriblement humaine, l’histoire d’une humanité en proie à elle-même. Des hommes qui livrent la guerre à leurs semblables presque à l’aveugle, et d’autres hommes, des femmes surtout, des enfants aussi, qui résistent tranquillement à ce qui leur semble être une aberration. Des habitants qui n’ont pas peur de l’occupant qui parfois pourrait être le fils du voisin. Des humains qui se chamaillent jusqu’au drame, mais des humains de toutes parts et avant tout, et pas uniquement de la « chair à papier journalistique ».
Le film est constitué de plusieurs petites histoires
de la vie de ces habitants en bute aux exactions des djihadistes.
Une poissonnière qui refuse de mettre les gants recommandés pour des raisons évidentes
de manque de praticité et qui; propose aux jeunes soldats médusés de lui couper plutôt directement les mains ; une mystérieuse femme, mi-guérisseuse, mi-folle de Chaillot qui, dans un accès
de lucidité et telle l’homme de Tian’anmen, stoppe la progression
d’un 4*4 dans une rue par la seule force de sa présence
(une scène superbement graphique filmée de haut par Sissako) ; cette mère
qui ose refuser de donner sa fille à un djihadiste ; cette autre femme encore
dont les chants continuent de résonner envers et contre tout; et cette femme, enfin, Satima,
qui manifeste sa résistance en s’amusant avec ses cheveux au vent, sacrilège
des sacrilèges, à la barbe d’un des « chefs de guerre », aimant tourner
autour d’elle à chaque fois que son mari est
obligé de s’éloigner.
Satima, belle et taciturne, est la femme de Kidane,
un éleveur de bétail touareg, beau et taciturne. Ils sont au centre
du film de Sissako, et leur vie de nomades heureux avec leur fille Toya figure ce qu’aurait
pu être la vie des habitants sans la présence de ces djihadistes : une vie simple, douce et paisible malgré la précarité, une vie joyeuse aussi, parsemée de chants et de guitare, de prière aussi.
Ils sont le havre de paix dans un tumulte d’injonctions absurdes
proférées au porte-voix.
Critique
Sissako montre donc les djihadistes
comme des êtres humains souvent dépassés
par la cause qu’ils entendent servir. Mais tout de suite après,
et pour que jamais il n’y ait une quelconque ambigüité dans son discours, il montre
la panoplie de leurs actes terroristes et terrifiants : interdictions en tous genres (de chanter,
d’écouter la musique, de fumer, de jouer…) lapidations, et autres exécutions plus ou moins
sommaires. Il montre avec humour l’absurdité de la situation où les djihadistes
en leur for intérieur se rangent le plus souvent du côté des habitants,
mais n’hésitent pas à tuer à coups de jets de pierre,
où ils pratiquent dans un bain d’hypocrisie crasse tout ce qu’ils
viennent d’interdire à la population, une situation de guerre qui manque
d’une motivation palpable à cette échelle-là de commandement, où tout le monde
a de la commisération pour tout le monde, mais qui entraîne malgré tout,
des conséquences ravageuses et fatales pour les habitants.
Timbuktu n’est pas un film bavard ni didactique.
Les dialogues sont simples et servent à illustrer les relations
entre les différents protagonistes plutôt que de nous asséner de poncifs qui ne sont
pas nécessaires, tant les images parlent d’elles-mêmes. Le film raconte une très belle histoire
servie par une caméra majestueuse et une utilisation magnifique du décor naturel.
Les couleurs, très harmonieuses et au final
assez peu nombreuses (une palette de tons ocre et sable), sont adoucies,
apportant comme un voile de tristesse dans un pays en train de perdre sa joie de vivre.
Puis l’apparition des femmes, dans leurs vêtements et leurs bijoux colorés, parfois hélas cachés
sous l’obligatoire voile noir, apportent du dynamisme dans ces images quasi pastel.
De même, une scène déjà anthologique de match
de foot sans ballon joué par des jeunes aux maillots de toutes les couleurs
est un pied-de-nez joyeux envers l’occupant, une résistance passive porteuse d’espoir.
Sissako et son chef opérateur Sofian El Fani (celui de Kéchiche
pour La vie d’Adèle chapitres 1 et 2) nous ont fait le cadeau d’un film dont la beauté
est bouleversante, et constitue un argument à part entière contre la bêtise de la guerre.
Classé à plusieurs titres par l’UNESCO au patrimonial mondial de l’humanité,
il est vrai que Tombouctou est une ville belle et chargée d’histoire, et la Mauritanie
où le film a été tourné est photogénique et mystérieuse à la fois dans ses dédales que seule la lune éclaire dès la tombée de la nuit. Mais la poésie et la beauté que Sissako a su tirer
de ces lieux n’appartiennent qu’à lui et sont la marque d’un grand cinéaste
qui porte très haut les couleurs du cinéma africain.
Un beau film nécessaire et très à propos,
à voir de toute urgence.
Critique Cinéma.
En savoir plus sur http://www.cineseries-mag.fr/timbuktu-un-film-de-abderrahmane-sissako-critique/#bYQuCAXrAvyCz0Pv.99



Pain paléo
15/12/2014 23:26 par cathy7302
Ce lundi 15 décembre 2014
Je suis heureuse que mon fils,
ait tout naturellement adopté ma manière de cuisiner,
c'est-à-dire réaliser des repas équilibrés, avec des ingrédients BIO.
Cela date d'il y a plus de vingt ans, grâce au maraîcher bio qui était dans mon village.
J'ai donc commencé par les légumes, pour, au fil des années, acheter TOUT en bio.
Lorsque je parle avec ceux que l'on nomme " consommateurs responsables ",
nous partageons le même avis : il nous est assez pénible
de manger ailleurs...
Cuisinant nous-mêmes,
à partir d'aliments bruts et de qualité,
le moindre mets de qualité moindre passe assez mal,
on sent aussitôt la différence.
CONSOMMER BIO
ne revient guère plus cher, car SE NOURRIR BIO,
c'est manger des aliments NON RAFFINES, donc plus rassasiants,
donc aucun grignotage...
Votre peau vous dit merci, votre santé aussi.
Ainsi que votre silhouette, car,
consommer beaucoup de végétaux ne fait nullement prendre de graisse.
Les bonnes graisses non plus...
A bon entendeur salut...
Merci à mon fils, Alexandre,
pour cette délicieuse recette, testée
pour la première fois aujourd'hui. Il ne reste presque
plus rien de mon pain paléo ce soir...
Voici donc une recette idéale
pour un petit déjeuner nourrissant,
SANS aucun gras animal, SANS laitage,
SANS SUCRE AJOUTE.
*
LE PAIN PALEO
( entendez par là paléolithique )
Ce qui navre le plus souvent celui ou celle
qui veut suivre le régime Seignalet ou les conseils
de Jean-Marie Magnien ou qui se convertit au mode de vie paléo,
c'est de devoir se passer de pain. Voici la recette d'un pain sans céréales,
conforme au régime Seignalet et à index glycémique bas. Elle a été élaborée par Frédéric Missonnier de Ma vie en bio et approuvée par ses proches comme par des boulangers
bio en recherche de pain sans gluten.
Ingrédients pour un pain :
150 g de purée de patate douce
200 g de farine de châtaigne
5 gros œufs
20 cl de lait végétal non sucré ou d’eau
3 grosses cuillères à soupe d’huile d’olive douce
3 grosses cuillères à soupe de psyllium
1 sachet de poudre à lever
2 bonnes pincées de sel
*
Les origines
" Le régime paléolithique n’a pas été « inventé » :
il correspond à ce que les premiers humains mangeaient spontanément,
de façon naturelle. On en entend parler depuis que Dr S. Boyd Eaton publiait, en 1985,
un article intitulé Paleolithic Nutrition dans le prestigieux New England Journal of Medicine.
Radiologiste et anthropologue médical,
Dr Eaton émettait alors l'opinion que l’alimentation idéale
correspondrait à celle de nos ancêtres de l’âge de pierre.
En autant que l'on puisse en juger à partir des populations actuelles vivant
encore comme à cette époque, il semble que nos aïeux ne connaissaient pas les maladies
dégénératives. On croit même que leur excellente forme physique leur aurait
permis de facilement rivaliser avec les athlètes modernes.
La théorie de Dr Eaton stipule
que ce sont nos gènes qui déterminent nos besoins nutritionnels.
Comme le génome humain n’aurait évolué que de 0,02 % en plus de 40 000 ans,
c’est dire que nous possédons les mêmes gènes que nos ancêtres préhistoriques. Par conséquent, l’alimentation de cette époque nous conviendrait tout à fait.
Depuis 1985, divers scientifiques se sont mis à étudier
cette époque et ont déterminé quelles étaient les pratiques alimentaires
des chasseurs-cueilleurs d’alors. Un de ces chercheurs, Loren Cordain, docteur
en éducation physique, a publié un livre, adapté à la culture américaine, qui décrit la diète
telle qu'on devrait la suivre à notre époque.
Loren Cordain n’est pas le premier à mettre
en évidence les avantages de la diète de nos ancêtres lointains.
En effet, un éminent médecin français, Dr Jean Seignalet, décédé en 2003,
a publié en 1996 un livre sur la diète ancestrale, intitulé L’alimentation ou la troisième médecine.
Son ouvrage vient d’être réédité pour la cinquième fois. Au cours de sa carrière,
Dr Seignalet a utilisé la diète ancestrale avec beaucoup de succès contre
des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques et l’arthrite
rhumatoïde ainsi que des maladies que la médecine classique
a de la difficulté à traiter, comme la fibromyalgie. "
PasseportSanté.net